Oeuvres de F. Baucher
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Mes trésors...
des années de collection...
Bon, d'accord, j'arrête... A Noël, il y en aura d'autres!
Mais bien sûr, Yasmine...
Lire sur du papier est irremmplaçable.
Le toucher, l'odeur, bien calé(e) dans les oreillers.
Perso, il m'arrive de relire des bouquins que je n'avais pas ouvert depuis vingt ans.
A l'époque, je n'y comprenait pratiquement rien, et puis un jour tout s'illumine ( enfin presque).
Un livre ( ou simplement un passage) permet de comprendre un autre.
C'est pour celà que j'aime tant l'équitation, équilibre parfait entre l'intellect et le physique.
Toutefois un grand merci à ceux qui nous donnent des tuyaux informatiques.
Tiens, dans "Vallerine" d'Etienne Beudant, que j'ai reçu il y a quelque jours, je suis obnubilé par cette simple phrase: " Donner au cheval l'impression qu'on ne lui demande rien". Mise en pratique personnelle: En fin de séance, après moins deux trous à la sangle et sussucre, demander sans l'air d'y toucher un petit quelque chose... Ca marche super. Permettez-moi cette comparaison, bien connue des spécialistes de la pub. Plus c'est bébète, et moins on y prête attention, mieux ça rentre dans notre tête, inconsciemment, car nous ne présentons pas de résistances "mentales". Le principe du subliminal...
Merci à tous.
Je viens de trouver le dernier livre écrit par Jean Claude Racinet:
http://www.chapitre.com/CHAPITRE/fr/search/Default.aspx
Un titre qui interpelle: "Trente cinq propositions insolentes pour comprendre l'équitation".
Aux éditions Favre
Parution le 30/10/2007
.
Message édité par: PODER, à: 2007/11/15 15:03
Je dois bien avoir une bibliothèque équivalente à la vôtre, et quand je la regarde, je me demande comment, après avoir lu tout cela, je ne suis pas devenue cavalière olympique ?
Pas le physique; sans doute. pas les moyens ou la chance d'avoir une Ferrari dans l'écurie; c'est ce que je voudrais croire. Pas tout à fait le QI d'une huître ; c'est ce que dirait Hervé, admettons.
Au bout du compte, on se retrouve toujours devant ses propres limites, les considérant comme insurmontables. Et si, comme le suggère Sir Cunningham ( j'espère avoir bien interprété l'absence d'accord de féminin, sinon excuses !), il s'agissait de lire, de laisser les mots faire leur chemin vers le subconscient, et au final, comme le préconisait le Professeur Erickson, " de faire confiance à ce subconscient", ce qui nous permettrait enfin " de penser avec nos mains", car après tout, n'est-ce pas cela le savoir-faire ?
SYL ( See You Later ) hi, hi,
Ceci rejoint totalement un fil de discussion sur le forum anglophone à savoir quel est l'équilibre à établir entre l'empirique et le théorique!
Bonjour,
Sylvie, si vous voulez gagner en compétition, il n'est point utile de tant lire : mieux vaut choisir un entraîneur tendance avec des résultats et un cheval né pour celà. Les livres, c'est pour les cérébraux, ceux qui veulent comprendre le pourquoi du comment, à la recherche de sensations justes - ce qui n'est pas obligatoirement le cas d'un cavalier de concours qui semble de plus en plus souvent accorder une maline importance au "progrès" et au "modernisme" de l'équitation. Si progrès il y a, il n'est pas forcément là où on le clame haut et fort...
Toujours une question d'équilibre !!, juste pour en revenir à M.Baucher, et de dialogue possible ( forum en langue anglaise) !
Bonjour.
Oh, c'était juste une interrogation comme ça... Personnellement, j'affectionne les livres : on peut les tansporter partout et ce sont des objets qui nous suivent toute une vie - on les lit, les range, y re-pense et les relit... Je ne pense pas que j'aurais lu autant devant l'écran!
Message édité par: EcoleDesChevaux, à: 2007/11/12 13:25
http://www.chevaux-de-regagnas.com