Lever l´incertitude
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... et faire la part des choses !
Suite à l´appel de notre président dans son éditorial, il y a quelques observations qui me paraissent utiles à formuler.
Concernant la "méthode" "Deep and Low", il me paraît que l´"argument majeur" de son prétendu intérêt équestre pour ses principaux promoteurs, à savoir notamment Sjef Janssen et Anky Van Grunsven, c´est la réussite en compétition de cette dernière, qui est un fait incontournable.
Cependant, cette réussite en compétition découle-t-elle directement de l´usage du "Deep and Low" comme il semble suggéré par ses promoteurs en question, ou ne pourraît-elle pas être mise en relation avec l´usage d´autres facteurs techniques ayant un impact favorable sur les performances des chevaux, passés eux sous silence par ces mêmes personnalités ?
Car il est un autre fait aisément observable pour qui a l´habitude de distinguer entre l´emploi des diverses options de fonctionnement du dos exploitables pour accompagner les allures en équilibre assis, c´est qu´Anky Van Grunsven use particulièrement bien de l´option de fonctionnement en balancier global lors des compétitions.
Alors, dans ce contexte de nécessaires interrogations biomécaniques, une question "simple" peut être soulevée :
est-ce la " méthode Deep and Low " ou l´emploi du " fonctionnement en balancier global " qui est le principal " facteur de réussite " en compétition ?
Une "réponse simple" pourraît aisément être apportée à cette "question simple" dans le cadre d´une étude intéressée `faire la part des choses :
il suffirait en effet de demander, par exemple à Anky Van Grunsven si elle acceptait d´y consentir..., de présenter successivement devant des observateurs la même reprise avec le même cheval, une fois en usant comme à l´habitude du fonctionnement en balancier global, et une seconde fois en usant du fonctionnement en balancier lombaire, avec la plus grande décontraction dans la verticalité.
De plus, cette expérimentation pourraît utilement se faire une fois avec un cheval "préparé" en Deep and Low, et une seconde fois avec un cheval "non préparé" avec cette "méthode"...
Pour qui "douterait" que l´usage de telle ou telle option de fonctionnement du dos puisse avoir un impact immédiat sur le comportement du cheval, je préconise de demander directement à Catherine Henriquet comment varie le comportement de ses propres montures selon qu´elle soutient ou non sa propre nuque en balancier global.
Cordialement
PK
PS pour Bernardine : suite au message de Michel concernant les traductions, si vous ne pouvez encore assurer celle-ci, je serai de retour de Suède demain et je pourrai m´en occuper moi-même lundi...
(par Peteris Klavins)
... by differenciating between things !
Following to the appeal of our president in the editorial, there are some remarks which seem to me useful to formulate.
Concerning the "method" "Deep and Low", it seems to me that the "major argument" of its claimed equestrian interest for its main promoters, namely notably Sjef Janssen and Anky Van Grunsven, it is the success in competition of this last one, what is an inescapable fact.
However, do this success in competition directly ensues from the use of "Deep and Low" as it seems suggested by its promoters in question, or could it not be got in touch with the use of other technical factors having a favorable impact on the performances of horses, leaved they under silence by these same personalities ?
Because there is another easily observable fact for whom is in the habit of distinguishing between the use of the different exploitable options of functioning of the back to accompany the gaits in sitting balance, it is that Anky Van Grunsven uses particularly well of the option of functioning in global swing during the competitions.
Then, in this context of necessary biomechanical questioning, a "simple" question can be raised :
Is it the "method Deep and Low" or the use of the "functioning in global swing" which is the main "factor of success" in competition ?
A "simple answer" could be simply brought to this "simple question" within the framework of a study interested to differenciate between things :
it would indeed be enough to ask, for example to Anky Van Grunsven if she agreed to grant it..., to present successively in front of observers the same competition work with the same horse, once by using as usual the functioning in global swing, then second time by using the functioning in lumbar swing, with the greatest relaxation in the verticality.
Furthermore, this experiment could usefully be valid with a horse "prepared" "Deep and Low", and another time with a horse "not prepared" with this "method"...
For whom "would doubt" that the use of such or such option of functioning of the back can have an immediate impact on the behavior of the horse, I recommend to ask directly to Catherine Henriquet how varies the behavior of hers own horses as she supports or not her own nape of the neck in global swing.
Cordially
PK
(par Peteris Klavins)