Certaines réponses pointent le niveau d´éducation générale des enseignants. Ce peut être un sujet qui fâche, mais je partage l´avis des messages qui déplorent ce niveau toujours plus bas. Quant à la formation, elle me laisse perplexe dans la mesure où j´ai plus eu l´impression que l´élève moniteur constitue une main d’œuvre peu cher pour les gros centre ayant le précieux agrément, bien plus qu´un élève à former. Qui a donc un an a perdre pour minimum 7500 euro lorsqu‘il a une formation universitaire et un niveau d‘équitation équivalent voire meilleur que les enseignants sortant de formation??? (et je ne plaisante pas). Une formation excessivement chère, et pas de possibilité de passer juste l´examen final pour les élèves ayant un niveau équestre des plus satisfaisant mais pas forcément les moyens financier d´avoir un cheval de compétition de haut niveau. Et ensuite, faut t´il encore trouver son compte dans un métier dure et pas toujours rémunérateur. Alors reste la passion. Et là, qui peux permettre aux enseignants capables oserai-je dire, ou du moins à ceux qui ont la passion de l´enseignement, la passion des chevaux de vivre de leur métier et d‘être de plus en plus nombreux?. A ceux qui prennent le temps de se former, d´étudier l´équitation d‘être encouragés ?. A ceux qui construisent leur reprises en fonction du niveau de leur cavaliers, de leur besoin de progrès et des possibilités physiques et psychiques de restitution et d´apprentissage de leur cavalerie, d‘être récompensés?. Quelle récompense pour ceux qui prennent le temps de remettre aux ordres leur cavalerie ?. Et bien, il s´agit de la clientèle. Si celle-ci ne suit pas, si celle si privilégie les gros clubs départementaux où l´élève est un numéro landa et les reprises se résument à ´volte en C, volte en A´, mais "qui est prés de la maison, pas cher du tout, et si joli...", pourquoi ne pas se désesperer! Peut être est-ce une raison pour laquelle la légèreté n´est pas vendeuse. Par ce que certains cavaliers se contentent de leur enseignant qui se résume à un mauvais animateur. Or, c´est en boycottant ces structures et en faisant le choix de la qualité que la légèreté pourra être promue dans l´enseignement. C´est au cavalier de se bouger. C´est à la limite totalement antinomique de vouloir promouvoir la légèreté et d´accepter de monter n´importe où! Prenons nos responsabilité de cavaliers, montons dans les structures qui le mérites car l´argent reste le nerf de la guerre. Et peut être que l´on verra une déferlante de la légèreté comme on l´a vu avec l´éthologie. Peut être suis- je loin de la réalité du problème...
Certaines réponses pointent le niveau d´éducation générale des enseignants. Ce peut être un sujet qui fâche, mais je partage l´avis des messages qui déplorent ce niveau toujours plus bas. Quant à la formation, elle me laisse perplexe dans la mesure où j´ai plus eu l´impression que l´élève moniteur constitue une main d’œuvre peu cher pour les gros centre ayant le précieux agrément, bien plus qu´un élève à former. Qui a donc un an a perdre pour minimum 7500 euro lorsqu‘il a une formation universitaire et un niveau d‘équitation équivalent voire meilleur que les enseignants sortant de formation??? (et je ne plaisante pas). Une formation excessivement chère, et pas de possibilité de passer juste l´examen final pour les élèves ayant un niveau équestre des plus satisfaisant mais pas forcément les moyens financier d´avoir un cheval de compétition de haut niveau.
Et ensuite, faut t´il encore trouver son compte dans un métier dure et pas toujours rémunérateur. Alors reste la passion. Et là, qui peux permettre aux enseignants capables oserai-je dire, ou du moins à ceux qui ont la passion de l´enseignement, la passion des chevaux de vivre de leur métier et d‘être de plus en plus nombreux?. A ceux qui prennent le temps de se former, d´étudier l´équitation d‘être encouragés ?. A ceux qui construisent leur reprises en fonction du niveau de leur cavaliers, de leur besoin de progrès et des possibilités physiques et psychiques de restitution et d´apprentissage de leur cavalerie, d‘être récompensés?. Quelle récompense pour ceux qui prennent le temps de remettre aux ordres leur cavalerie ?. Et bien, il s´agit de la clientèle. Si celle-ci ne suit pas, si celle si privilégie les gros clubs départementaux où l´élève est un numéro landa et les reprises se résument à ´volte en C, volte en A´, mais "qui est prés de la maison, pas cher du tout, et si joli...", pourquoi ne pas se désesperer!
Peut être est-ce une raison pour laquelle la légèreté n´est pas vendeuse. Par ce que certains cavaliers se contentent de leur enseignant qui se résume à un mauvais animateur. Or, c´est en boycottant ces structures et en faisant le choix de la qualité que la légèreté pourra être promue dans l´enseignement. C´est au cavalier de se bouger. C´est à la limite totalement antinomique de vouloir promouvoir la légèreté et d´accepter de monter n´importe où! Prenons nos responsabilité de cavaliers, montons dans les structures qui le mérites car l´argent reste le nerf de la guerre. Et peut être que l´on verra une déferlante de la légèreté comme on l´a vu avec l´éthologie. Peut être suis- je loin de la réalité du problème...
(par Karl-alexander)