Assiette
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Bonjour à toutes et à tous,
Nouveau débat qui devrait être de bon niveau.
Aprés lecture, pages adhérants " du noble combat ", et un peu de réflexions et de lectures, voici ce que je pense pourrait répondre, en partie, à la position qui permettrait d´avoir une réelle indépendance des aides et pouvoir résister en toute décontraction.
Que nous disent les "anciens" livres ?
"" L´assiette est la qualité qui permet au cavalier de demeurer maître de son équilibre en toutes circonstances, quelles que soient les réactions du cheval "" et je rajouterais "" quelles que soient les demandes du cavalier, légéres ou fermes si nécessaires ""
l´assiette, sans elle il ne peut y avoir ni solidité, ni confiance, ni juste emploi des aides, ni de conduite du cheval.
elle résulte d´une décontraction physique et psychique du cavalier.
Donc si =
décontraction physique et psychique du cavalier
Alors =
fixité du cavalier pour le meilleur emploi de ses aides
indépendance des aides les unes par rapport aux autres.
Avons nous réellement une bonne assiette ?
Avons nous la bonne position sur le dos de notre cheval ?
Amicalement
Serge
(par Serge)
Allège Ideal
La question serait suffit-il d´être décontracté pour être stable?
Je ne le pense pas, même si cela est une condition sine qua non.
La tonicité, l´adaptation posturale due à l´entraînement (apprentissage moteur, renforcement musculaire, développement des sensations kinesthésiques, étirement...), l´option de fonctionnement du dos (cf. monsieur Klavins) et bien d´autres éléments entrent en ligne de compte.
En tant qu’éducateur, il est alors intéressant de se poser les questions de l’ordre des apprentissages, de la connaissance des vitesses de développement… car si l’ensemble de ces aspects doit être prie en compte, leurs évolutions seront certes parallèles mais pas nécessairement linéaires.
L’enseignant doit être capable de jongler avec ces divers aspects un peu comme un chef d’orchestre doit gérer plusieurs instruments qui -bien qu’ayant des interrelation- gardes leurs diversité.
@@@@@@
The question would be is it enough to be relaxed to be stable?
I don’t think so, even if that is a sine qua non condition.
Tonicity, Postural adaptation due to the training (muscular reinforcement, development of the kinesthetic feelings, stretching...), the functioning options of the back (cf Mr Klavins) as well as many other elements must be taken into consideration.
As a teacher, it is then interesting to be ask about the order of the trainings, the knowledge of them, there speeds of development... because if these whole aspects must be requests, theirs evolutions will be certainly parallel but not necessarily linear.
The teacher must be able to juggle with these various aspects as a “chef d’orchestre” must manage several instruments which have interrelationship between them but which maintain their diversity.
(par julien gouz)