Divers
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Bonjour Pierre,
Pourriez vous être plus explicite sur vos réticences ? Cela provoquerait à coup sûr des échanges intéressants.
cordialement,
Hervé
(par Hervé)
Bonjour Pierre,
je crois que nous sommes tous d´accord et que les désaccords, lorsqu´ils existent, viennent du fait que l´on ne définit pas les conditions dans lesquelles on travaille nos chevaux.
Il est tard et je suis fatigué, aussi pour l´instant je vais seulement vous posez une seule question:
Quelles sont les conditions essentielles qui permettent aux cavaliers de relever l´encolure sans que le dos de leur cheval se creuse?
Pour beaucoup de cavaliers, obtenir un début d´engagement et le ramener c´est ce qu´ils appellent le travail, pour d´autres comme vous je pense , cela fait partie de la fin de la détente et le vrai travail c´est la recherche du vrai rassembler.
Cordiallement,
MK
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Hello Pierre,
I think we are all in agreement and the disagrements, when they exist, come from the fact that we don´t define the conditions in which we work our horses.
It is late and I am tired, so for now I am going to ask you only one question:
What are the essential conditions that allow riders to elevate the neck without the horse´s back hollowing?
For many riders getting a little bit of engagement and puting the horse on the bit is what they call work, for others, like you I think, this is part of the end of warm up and the real work is to seek real collection.
Cordially,
MK
(par Michel Kaplan)
Bonjour,
Plus bas dans le forum, j´avais donné ces exemples sur la position des cavaliers de dressage.
j´indiquais que le dressage est actuellement maîtrisé par les Allemends, jambes verticales, etc..
J´ai devant moi quatres photos :
Mr henry Bolt,Allemagne, 1964 aux JO de Tokyo sur Ramus
Mr Josef Neckermann, Allemagne, sur Antoinette
Dc Reiner Klimke, Allemagne, sur Arcadius
et surtout une superbe photo montrant le sous officier Suisse Henri Chammartin aux JO de Tokyo sur Wolfdietrich, chanpion olympique =
position preconisée par Mr D´Orgeix EN SAUT D´OBSTACLE
et je peux vous dire que la position à cheval n´est PAS ce que l´on a actuellement en dressage sur les rectangles, position droite des jambes sur les étriers, etc..
tout cela demande méditation
où est la limite entre position dressage avant 1970 et celle de saut d´obstacles ?
cordialement
(par Serge)
Bonjour à toutes et tous.
M Kaplan
Je monte avec les mains un peu hautes, un peu au dessus du nombril.
Sur un cheval saint sans contracture vertébrale
Flexion direct de mâchoire (très important), décontraction de la nuque, énergie, impulsion, aucune tension continue des rêne, les mains agissent par petites actions brèves le reste du temps le contact est réduit au simple poids des rênes, il est évidement interdit de franchir la barrière.
Je travail à des allures lentes mais énergiques que j´allonge progressivement (l´équilibre précède le mouvement) le cheval ne doit surtout pas être mou à moitié endormi. Durant les temps de travail pas de temps mort pas plus de quelques seconde sans une nouvelle demande du cavalier (allongement, ralentissement, transition, tourner, ...) ainsi le cheval guette les ordres du cavalier et y répond avec promptitude (impulsion). Pas d´action de mains et de jambe (impulsive) simultané elle peuvent être très proche mais pas simultané.
je ne suis pas très bon cavalier mais ces choses là se sentent. Il y a un peu plus d´un mois je voulais travailler les changements de pieds et je n´y arrivais pas je n´ai donc pas insisté mais la semaine dernière alors que je n´y pensais plus, j´ai soudainement senti que ma jument était prête, je l´ai fait et j´ai réussi.
Je pense qu´il faut oser demander au cheval si ça marche parfait si non on demande plus tard. Et puis on à le droit de se tromper, personne n´est parfait.
j´ai eu ma petite jument (1,65 m elle est plus grande que moi 1,63 m) à tout juste 4 an elle encensait faisait de brutales plongées d´encolure, il était presque impossible de tourner au galop à droite et à peine mieux à gauche très souvent désunie, lors des arrêts difficiles les hanches partait de côté, l´immobilité impossible, il m´a fallu 1 mois pour qu´elle broute étant monté. 6 mois après tout ça avait disparu elle était agréable à monté. Au box et en main elle était et reste charmante et agréable. Tout n´est pas parfait, bien sûr mais quand même, quel changement.
J´ai passé le premier degré après 6 moi d´équitation en suite j´ai toujours travailler seul.
amicalement
pierre.
(par pierre)
Bonjour à toutes et tous.
Je pense que la position du cavalier, ou appelez ça comme vous voulez, a une grande importance car de la stabilité du cavalier, dépends en grande partie la qualité de ces aides et donc la qualité de la communication avec le cheval. Je dis communication car le cavalier transmet ses demandes par l´intermédiaire des aides et par elles le cavalier reçoit les réponses du cheval ainsi qu´une multitude d´information permettant au cavalier d´agir au mieux (sentiment équestre).
Je ne suis pas d´accord avec Fredy Merçay (pardon Fredy) qui dit :
"... ( comme dans la position de l´homme debout en position orthostatique ) ...
En résumé, si le cavalier est bien assis, nous pouvons tracer une ligne verticale qui part des épaules, en passant par les coudes pour parvenir aux talons ... ".
On ne peut pas être debout et assis en même temps. Si le cavalier respecte la ligne verticale épaules coudes talons il est alors dans un équilibre instable dans le sens longitudinal, de plus si les épaules reculent alors les coudes et les talons reculent et si les épaules avancent ... . D´autres nous parlent d´une ligne droite oreille hanche talon pas forcement verticale cette posture est tout aussi instable que la précédente, de plus si les épaules reculent les talons avance et si ... . La théorie du balancier dans laquelle les jambes feraient contre poids au buste me semble aller à l´encontre de l´indépendance des aides inférieures. Ce que l´on n´accepte pas des mains pourquoi l´accepter des jambes. Les jambes dans leur partie inférieur (genou talon) doivent être libres et indépendantes.
Je sais qu´il s´agit là d´attitudes de base et que cela s´inscrit dans la dynamique du mouvement, mais quand même !
Le cavalier assis derrière ses pieds bénéficie d´un polygone de sustentation élargi dans le sens longitudinal et donc est beaucoup plus stable. Cette attitude donne une grande aisance du buste sans répercussion sur la position des jambes. Le cavalier peut aussi prendre appui sur ses étrier, en cas de résistance forte (eh oui ! ça arrive), sans aucune perte d´équilibre ce qui est impossible avec les talons sous les fesses. Dans cette position le cavalier est assis un peu moins en avant ce qui dégage d´autant les épaules du cheval.
amicalement
pierre.
(par pierre)
Bonjour à toutes et tous.
La monté du garrot concerne le berceau musculaire qui soutien le thorax entre les épaules.
Le basculement du bassin c´est la monté du dos.
L´abaissement des hanches c´est la flexion des articulations des postérieurs
Le relèvement de l´encolure favorise la monté du garrot qui favorise l´abaissement des hanches, les flexions de mâchoire et nuques favorisent le basculement du bassin. Le tout dans l´énergie et l´impulsion, c´est le rassembler.
C´est là ma vision des choses, mais peut-être, ai-je tout faux.
Il semble que tout le monde n´interprète ou comprenne pas le Dr Giniaux de la même façon ; alors comme je ne l´ai pas encore lu je vais essayer de combler cette lacune.
amicalement
pierre.
(par pierre)
Bonjour à toutes et tous.
La monté du garrot concerne le berceau musculaire qui soutien le thorax entre les épaules.
Le basculement du bassin c´est la monté du dos.
L´abaissement des hanches c´est la flexion des articulations des postérieurs
Le relèvement de l´encolure favorise la monté du garrot qui favorise l´abaissement des hanches, les flexions de mâchoire et nuques favorisent le basculement du bassin. Le tout dans l´énergie et l´impulsion, c´est le rassembler.
C´est là ma vision des choses, mais peut-être, ai-je tout faux.
Il semble que tout le monde n´interprète ou comprenne pas le Dr Giniaux de la même façon ; alors comme je ne l´ai pas encore lu je vais essayer de combler cette lacune.
amicalement
pierre.
(par pierre)
Bonsoir Cher Michel
Après les pertinentes réponses de Pierre à votre interrogation formulée malgré votre fatigue, il me paraît des plus important de souligner et de remettre en exergue sur le Forum la dernière partie de votre précédent message (à mon avis, des plus judicieux)...
Pour ma part, je me range dans la catégorie, (et j´essaie de faire partager cette orientation...), des cavaliers qui considèrent qu´obtenir un début d´engagement et un certain ramener fait partie de la fin de la détente et que le temps de travail débute après...
Très cordialement
Peteris
Translation following as soon as possible
(par Peteris Klavins)
Good evening, (or morning for you), dear Michel
After the pertinent answers of Pierre to your question formulated in spite of your tiredness, it seems to me from the most important to underline and to highlight on the Forum the last part of your previous message (in my mind, from the most judicious)...
For my part, I rank myself in the category, (and I try to make share this orientation...), of riders considering that obtaining a beginning of engagement and a "somewhat" of "ramener" makes part of the end of the warm-up ("relaxation" in French...) and that the work´s period begins after...
Very cordially
Peteris
(par Peteris Klavins)
Bonjour,
Ce que vous demandez à votre cheval, et quand vous le demandez, dépend totalement du niveau du cavalier, du niveau du cheval et du niveau du couple.
Il est illusoire de vouloir demander le rassembler en fin de détente lorsque le cheval ou le cavalier n´en sont pas encore à ce niveau.
StephE
(par stephe)
Bonjour à toutes et tous.
j´ai adhéré à AI car je me sents proche de l´équitation de M d´Orgeix et là je dois dire que je ne m´y retrouve pas.
Je pense que l´équitation de M. d´Orgeix repose sur des base parfaitement classiques (évidement pas sur celle des 50 dernière année) contrairement à ce que l´on dit ici ou là.
Position du cavalier : pour moi le cavalier doit être assis dans une selle plutôt plate les cuisses fortement adhérentes les genoux fixes le poids dans les talons et non à moitié debout en équilibre instable. Regardez les photo des Lessage, Jousseaume, Decarpentry, Saint Phall, ... ces gens là n´avaient-ils pas de meilleurs résultats que la plus part des cavaliers actuels ils étaient assis derrière leurs jambes.
Pour moi les jambes sont, avant tout, des agents impulsifs elles agissent ensembles l´une pouvant dominer l´autre plutôt à rebrousse poile (dans leur rôle impulsif), ou isolement pour chasser les hanches pression d´avant en arrière (ce qui provoque un léger recule de la jambe mais très léger) ou demander le départ au galop la jambe du côté du galop exerce une pression d´arrière en avant (ce qui provoque une légère avancée de la jambe mais très légère).
A mon avis le cheval qui s´incurve autour de la jambe n´est qu´une sensation qui ne repose pas sur une réalité ; cependant la sensation, elle, est bien réelle.
En respectant les aptitudes morales et physiques du cheval :
Pendant les temps de travail (1 temps de travail = 2 à 5 mn) je demande à mon cheval de travailler encolure haute sur des rênes demi-molles, il peut étendre son encolure à volonté durant la détente, les poses et le retour au calme bien souvent il broute. Je ne crois pas que l´on fait monté le garrot en étirant l´encolure, la ligne du dessus mais en élevant l´encolure
Je pense :
-que l´épaule en dedans est un exercice de base et simple
-que l´équilibre doit précéder le mouvements
-que sans monté du garrot (donc élévation d´encolure) il n´y a pas
d´abaissement des hanches de qualité
... ...
je ne suis pas doué pour l´écriture et j´ai un peu peur d´être mal adroit et/ou mal compris.
amicalement
pierre.
(par pierre)