Divers

Par deux fois, je crois, j\'\'ai essayé de mettre en cause la formation continue. Avec tout ce que je lis surle site, il ne semble pas y avoir un seul enseignant, instructeur et/ ou entraineur qui veuille se mettre en évidence et accepter de se trouver confronter avec ses pairs, être objectivement critiqué ( autant dans sa monte que dans sa façon d\'\'enseigner ), autant sur le plan théorique que pratique. Pour évoluer et progresser, la " table ronde " ne suffit pas! Il faut aller au-delà du " on cause , on cause ". Les frustrations exprimés sur le site l\'\'expriment clairement!

Alors, va-t-on rester dans son coin en divulgant un enseignement et un entrainement à la va comme je te pousse ou faisons-nous quelques chose de concrêt?

Amicalement, Frédy

(par Frédy Mercay)

bonsoir Fredy,

internet nous permet de discuter ensemble.

il rapproche les éloignés.

au niveau équitation, c\'\'est plus dur, il ne sait plus rapprocher

(par Serge)

Bonjour,
si la formation continue à la francaise n\'\'est pas satisfaisante, comment cela fonctionne-t\'\'il dans les autres pays ? Peut-être avons nous des leçons à prendre de nos voisins, et de nos moins voisins ?
En allemagne ? Et aux USA ?
La diversité des intervenants de tous les horizons de ce forum devrait nous apporter des témoignages sur ce sujet !

(par Marie)

Bonjour,

Je suis élève-instructeur et je suis le premier a reconnaître la faiblesse du niveau donnée aux moniteurs autant d’un point de vue académique que novateur.

Cette formation continue que vous proposé, me parait une très très bonne idée et j’espère qu’elle va se concrêtiser !!

L’ouverture sur d’autres disciplines équestres peut également être d’une grande aide. Pour ma part je me suis investie, en plus de l’équitation traditionnelle, dans la voltige équestre et dans le yoseikan-bajutsu (art martial à cheval) et on m’a fait remarquer que ma monte ainsi que mon enseignement en avaient tiré un bon profit.

Il s’agit avant tous d’avoir l’ouverture d’esprit qui y correspond : en effet avant de vouloir se former, il faut reconnaître nos faiblesse, le chemin à faire, et c’est là que le bas blesse trop souvent. Cette citation si classique « je sais que je ne sais rien » s’applique avec toute sa force ici aussi.

Toujours est-il que oui, nous devons nous réunir et apporter notre expérience et tirer profit de celui de chacun, car comme le dirait monsieur de Lapalisse « Tous ce qui est constructif est CONSTRUCTIF »  !!!

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Hello,

I am an instructor student and I am on the first line first to recognize the weakness of the equestrian teachers as much in the academic way as in the innovator one.

This formation that you proposed, appears to me as a very very good idea and I hope that it will goes on!!

The opening on other equestrian disciplines can also be a great help. For my part I invested myself in the equestrian vaulting and in yoseikan-bajutsu (martial arts with horses) and some people says me that it help me to increase my teaching and my riding.

It is a question of having the a point of view that is corresponding to that : indeed for wanting to be formed, it is necessary to recognize our weakness and it is there the problem is! This so traditional quotation "I know that I do not know anything" applies here in a very strong way.

So yes, we must meet and bring our experiment with us and take benefit from that of each one, because as would say it Mister de Lapalisse "All what is constructive is CONSTRUCTIVE"  !!!

(par julien gouz)

Pardonnez moi mon précédent message n\'\'était pas clair. Ce n\'\'était qu\'\'une réaction allergique à la " motion d\'\'ordre " qui m\'\'a fait froid dans le dos.

Cordialement gabi.

(par gabi)

Aucune formation ne saurait être "complète" ou parfaite. Une bonne formation, c\'\'est celle qui vous fournit des bases solides sur lesquelles vous pourrez bâtir "selon votre coeur". Il y a un "contenu minimum" certes, qui inclut aussi l\'\'Histoire, puisqu\'\'elle permet de comprendre -à postériori- les différents courants ; mais il y a surtout un "comment" qui devrait ouvrir l\'\'esprit au lieu de l\'\'enfermer dans un quelqconque manuel. C\'\'est vrai aussi que les enseignants sont facilement isolés : ils le sont d\'\'autant plus s\'\'ils ne font pas l\'\'effort de s\'\'ouvrir au monde. C\'\'est vrai pour un tas d\'\'autres professions, mais cela devient paradoxal lorsque le métier veut que les contacts humains soient importants. Allez-y, les Yves, les Julien : soyez contagieux.

(par nathalie)