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la question toute bête: pourquoi

36 replies [Last post]
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MIS Sophie
Offline
Joined: 01/11/2007

Bonjour,
Eh oui, pourquoi? Les éleveurs, l'encadrement, les cavaliers!
N'oublions pas que nous sommes dans une société de consommation, et les gens ont une tendance grandissante à "consommer" du cheval, comme du vélo et de la play-station! Quand je dis à ma monitrice que quand même, on devrait dire aux gens que, le cheval n'est pas adapté, ils ne sont pas près, ce n'est pas comme cela qu'il faut faire ou pas cet objectif qu'il faut viser, elle me répond "mais ils n'écoutent pas, ils savent ce qu'ils veulent entendre, et si ça n'est pas dit ici, ils iront ailleurs!" Et elle a perdu des clients pour avoir dit, ce qui est tout à son honneur.
Elle me cite un exemple : un cheval de CSO tourne très bien sur des épreuves à 1.20 m. Des gens l'achètent pour leur fille de 12 ans : pas assez de métier, de physique aussi, le cheval n'est plus en équilibre, il fait des barres à tous les obstacles. On leur explique que le cheval ne va pas à l'enfant. Bah non, ils décident de l'enraîner, le cheval rétive, ils le vendent pour en prendre un autre!

Autre exemple : dans un club où j'ai monté, un cavalier, en rentrant un jour du boulot voit un cheval dans la pâture qui jouxte la maison : sa femme lui a offert un cheval, sans rien lui dire, un trotteur de 4 ans. Il ne le connaît pas, il sait juste à peu près d'où il sort, il est pourtant cavalier disons expérimenté, ce n'est pas un débutant. Que fait-il pour l'essayer? Il part en ballade avec et se fait embarquer, le cheval arrive au club pour y être travailler dans les règles de l'art, selon son âge et ses acquis.

De mon point de vue, l'équitation est soumise comme le reste de la société à l'ère de la consommation. Aux éleveurs, aux encadrants, de remettre les pendules à l'heure c'est certain, et aux cavaliers à changer aussi de façon de voir les choses. Et comme l'a si bien dit Nicole, il faut commencé par les enfants, les jeunes. Et que les moins jeunes apprennent aussi à se remettre en question.
Pour moi, c'est exactement la même chose que les gens qui partent faire le mont Blanc en basket et en t-shirt l'été parce qu'il fait beau, même si on leur dit que la montagne est dangereuse et qu'il faut être au minimum équipé et aguerri. Bah oui, mais il fait beau!
C'est pareil.
Je pense qu'il faut une vraie prise de conscience pour que le cheval sorte du système consumériste : ce n'est pas un vélo, c'est( un animal d'en moyenne 600 kg, qui ne se manipule pas n'importe comment, ne se monte pas n'importe comment, et ne s'achète ou ne se vend pas n'importe comment. Quand au danger : il y en a, le risque 0 n'existe pas!
Je ne pense pas que ce message fasse avancer le chmimblik, mais je suis effarée de ce que je peux voir et entendre, et je comprends tout à fait Françoise...
La filière brasse beaucoup d'argent, les gens sont inexpérimentés et ne veulent pas forcément ou ne pensent pas forcément qu'il faut changer! en dépit du bon sens parfois!

Sophie

DEGRANGE Alain
Offline
Joined: 17/03/2006

France : « On consomme de l'équitation comme on va à l'hypermarché. Au fait, en voilà des entreprises qui ont 1 million de clients...faites la comparaison »

Sophie : « La filière brasse beaucoup d'argent, les gens sont inexpérimentés et ne veulent pas forcément ou ne pensent pas forcément qu'il faut changer! en dépit du bon sens parfois »

J’ai écouté message après message et je vais plus loin que France et Sophie pour dire que ce n’est même plus une société de consommation mais de surconsommation.
En effet, le système ne répond plus aux besoins des populations mais bien à ceux de l’argent qui, s’il est nécessaire ne peut être une fin en soi.

Comme l’écrit Simon Charbonneau professeur de droit de l’environnement à l’université de Bordeaux :

« A vrai dire, ce qui est aujourd’hui en train de se passer illustre de manière dramatique l’aveuglement d’une société persuadée que l’humanité peut continuer à vivre avec un développement sans limites de ses activités économiques. Inévitablement, la croissance débouche alors un jour ou l’autre sur la récession une fois ces limites franchies. Pas plus que les espaces naturels, l’espace économique n’est indéfiniment extensible. Nous sommes aujourd’hui à la veille de bouleversements considérables aux conséquences incalculables, tant sur le plan social, qu’économique et environnemental. Ces bouleversements sont en décalage complet avec les représentations politiques et économiques qui continuent à habiter les esprits de notre oligarchie. Ceci explique son désarroi actuel ».

Pour ma part, je pense que rien n'est perdu et si le passage de cette crise (non pas économique mais systémique) sera difficile, il nous permettra aussi de retrouver de vraies valeurs et surtout celle retrouver du temps.

Cordialement,

Alain

Christopher Cunningham
Offline
Joined: 24/06/2007

Bonjour,

Après vous avoir lu, je voudrais faire une observation concernant la fréquentation des clubs cet hiver (je monte moi-même en club):

Grosse baisse d'effectif à cause du thermomètre. Je sais qu'il faut se pousser parfois pour aller monter à cheval. Mais est-ce une raison pour abandonner au box de pauvres chevaux qui ne demandent qu'à sortir?

Le travail des fidèles n'en est pas facilité (chevaux en manque d'exercice régulier). Et est-ce bien encourageant pour les enseignants qu'on ne se gêne pas de critiquer à tout-va?

Etre client ne signifie pas que l'on a pas aussi des devoirs.

A partir d'un certain niveau, chaque clubard devrait se sentir impliqué dans la qualité de la cavalerie mise à sa disposition.

Que certains cessent de se comporter en consommateur non responsable et tout le monde se portera mieux.

Ouf! C'est bien la première fois que je sort de ma réserve. Veuillez m'en excuser.

Amitiés.

france
Offline
Joined: 06/03/2007

Etre client ne signifie pas que l'on a pas aussi des devoirs.

A partir d'un certain niveau, chaque clubard devrait se sentir impliqué dans la qualité de la cavalerie mise à sa disposition.

Que certains cessent de se comporter en consommateur non responsable et tout le monde se portera mieux.

Cunningham, je serais très désolée de vous vexer...

Vous dites que le client a des devoirs...en fait, s'il est "client", il n'en a qu'un : payer le dû en temps et heure, y compris s'il a fait défaut sans prévenir assez tôt

On pourrait parler d'élèves, de cavaliers...pas de clients, et pourtant le mot est d'usage courant dans les centres équestres
Détestable, ce mot "client", désagréable de se sentir considéré ainsi...ça détruit toute envie d'implication

D'où vient que, petit à petit, le clubard soit devenu un client ? Est-ce sa faute, celle de l'époque ou celle des structures ? Sûrement un peu la faute de chacun ; et le résultat est là : des ex-clubards qui donnaient un coup de main avec plaisir pour faire les box, sortir les chevaux - et apprendre beaucoup dans le même temps - se sont transformés en clients, puisque c'est l'attitude à la mode
Et au bout du compte, tout le monde y perd

Cordialement

Message édité par: france, à: 2009/02/24 00:30

Marie Poppins
Offline
Joined: 29/01/2007

SINIGAGLIA Françoise écrit:

ceci dit, la question est, comment un jeune cavalier,peut il apprendre a "monter juste",avec un cheval d'école "mal mis"... pour ne pas dire "pas mis du tout"..
je poursuis mon idée, en apprenant aux neophytes, le "tape dessus pour qu'il avance" et le "casse lui les dents" pour qu'il s'arrête..sur un animal traumatisé.. il y a en effet de fortes chances , que s'il ne se fracture rien après être parti en orbite.. on en fasse au mieux "un consommateur d'heure de cheval".. et au pire, il quittera la discipline, et les animaux.. en se disant monde de fous , ou monde de brutes..
les professionnels font en quelque sorte leur propre malheur dans ce cas.. non?

Malheureusement, certains y prennent plaisir sans comprendre ce qu'ils font. Le discours des entraîneurs est beaucoup plus subtil que celui du "tape dedans." Aujourd'hui, on parle savant, on enrobe et on marche dans le système ; je prends pour exemple les nombreux profs privés qu'on voit défiler dans les écuries. Dans un monde où l'égo et le jugement occupent une place sur-dimensionnée, le cavalier de dressage rêve de faire mieux que son voisin, le prof, mieux que le prof du voisin, il faut vivre et pour vivre, on fait rêver à moindre investissement et, mieux, on vous garantit que c'est pour le "bien" du cheval. C'est là que le bât blesse : la grande portion des cavaliers arriveront au mieux jusqu'aux reprises comprenant des changements de pied et... pas plus (sauf s'ils ont les moyens de s'offrir "le" cheval qui palliera à la pauvreté de l'entraînement), alors pourquoi faire dans la dentelle alors que la compression peut être faite par n'importe qui (qui va former au tact équestre, au sentiment, à la patience et risquer de voir partir les clients ? Bien peu ! Pourquoi laisser le cheval travailler librement et le laisser rentrer peu à peu dans son équilibre alors qu'en le poussant gaillardement sur le mors, il sera prêt pour les reprises de petit niveau dans deux mois, surtout quand on fait croire (parce qu'on en est soi-même convaincu) qu'un cheval ne travaille convenablement que s'il bombe le dos et engage ses postérieurs ? Je ne compte plus ces professeurs qui se prétendent si attentifs au bien-être du cheval et qui le sacquent avec des moyens bien emballés, bien vendus mais tout sauf respectueux du cheval.

A partir de là, si le système cautionne ce mode de fonctionnement, la spirale infernale est mise en place et le cavalier moyen, s'il est déçu, n'abandonne pas l'équitation : il s'achète SON cheval et se prend un prof privé qui, au lieu d'affiner son équitation, va juste lui donner un plus bel emballage.

Par contre, je me laisse à espérer que les gens rêvent d'autre chose, d'une connexion avec le cheval (comme le témoigne le succès de l'éthologie). Des demandes se font, mais il faudra voir sur la longueur ce qu'il se produira. En tout cas, des associations comme celle-ci et des démarches allant dans ce sens permettent d'avancer dans la direction du bien-être des chevaux, le tout est que les cavaliers parviennent à comprendre que ce qu'on leur vend comme étant "bon" pour le cheval ne l'est pas forcément.

Message édité par: Marie Poppins, à: 2009/02/24 22:44

SINIGAGLIA Françoise
Offline
Joined: 03/10/2007

que ce soit à france ou a marie.. je repondrais "c'est pas faux!!"
mais j'espère qu'a force de mettre le doigt dessus.. vous savez "là ou ça fait mal".. nous pourrons attirer l'attention sur ces derives..triste : en ce qui concerne la mutation client/clubbard..
et completement dramatique en ce qui concerne les pseudos "entraineurs de dressage" (domptage de fauves ouais!)
ps: je n'avais jamais entendu "clubbard"..mais le moindre investissement des cavaliers dans certaines structures est sensible, c'est vrai!
bonne soirée, fs

Christopher Cunningham
Offline
Joined: 24/06/2007

Bonsoir,

Inventeur du terme "clubard", je vous prie de croire que ce terme n'emporte rien de péjoratif.

Bien au contraire.

Il contient toute la difficulté vécue par ceux, qui, pour telles ou telles raisons doivent se contenter de relations épisodiques avec tel ou tel cheval.

Et qui, plus que tous autres, ressentent cruellement "le manque de permanence des effets équestres..." (comprendra qui pourra).

Une note douce: Il y a des lieux où les clubards s'implique dans la conservation de la cavalerie.

Et même si le mot légèreté y est rarement prononcé, l'esprit est là.

Bien amicalement

MIS Sophie
Offline
Joined: 01/11/2007

C'est chouette, clubard, y'a les campagnards, les banlieusards, les motards... pourquoi pas les clubards!

Ah oui, le petit cavalier débutant sur des chevaux bringues-zingues qui se fait mettre en orbite ou virer pour un oui ou un non : je reconnais! C'est moi! et bien d'autres aussi. J'étais ado, dans mon premier club : pas une reprise sans chute, des chevaux pas bien mis ou limite vicieux, ou les 2, une notion du dressage toute particulière : éperon de bronze en poche, premier exercice qu'on vous... comment dire... demande de faire, je dirais même pas enseigne ou explique, la tête au mur avec, évidemment, une bonne paire de rênes allemandes dont on oublie de vous dire comment ça fonctionne ni même pourquoi on les met. Ah si! pour que ça aille mieux parce que le cheval est sur les épaules...
Personellement, ça m'a donné l'envie de comprendre pourquoi je comprenais pas, pourquoi j'y arrivais pas... pourquoi, quoi!
Et heureusement, les 3 clubs suivants m'ont permis d'avoir les réponses, enfin, une partie, j'ai pas encore terminé, mais je suis sur le bon chemin je crois. Et puis mon cheval aussi, depuis 2 ans et demi, qui m'a remis régulièrement les pendules à l'heure, quand j'étais trop pressée, pas assez polie avec lui, et qui a la qualité de ne rien faire à ma place de ne rien tolérer de... à peu près. Du coup, hier, superbe séance ou on a travaillé le galop à faux à sa mauvaise main, qui ne l'est plus tant que ça dès que la cavalière essaie de sortir son meilleur, et aujourd'hui, la cavalière étant moins bien, moins précise et plus crispée, à main droite, elle a raté des voltes au pas!
La patience, et l'humilité!

Toutes mes excuses pour ce petit moment de "je vous raconte ma vie"...

Sophie

Christopher Cunningham
Offline
Joined: 24/06/2007

Mais miss Sophie,
Y'a pas de mal à se lâcher un peu!

MICHELS
Offline
Joined: 24/03/2009

Bonjour,

Je me permets de poster pour témoigner aussi sur ce sujet :
J'ai commencé à monter dans un petit club où le turn over de moniteurs était très important (entretien des installations et de la cavalerie catastrophie : les poneys sur lesquels j'ai commencé en 96 font tjs le club...)jusqu'à mon galop 5.
J'ai ensuite monté en demi-pensions toujours encardrée par un moniteur issu du CCE, à l'époque j'ai appris une équitation plutôt légère, sur des chevaux à peu près dressés je pouvais faire des choses correctes. Dans une équitation discrète orientée jeunes chevaux.
Ce club ayant fermé (fin 2005) mes parents acceptent de m'acheter un cheval (un jeune... car ça vit plus longtemps, avis de parents non cavaliers, de plus mon moniteur du club fermé et mon moniteur de l'époque confirment ma capacité à "faire" un jeune (car je ne suis pas dans la recherche du résultat du jour au lendemain mais me fait plaisir dans le travail)...Nous voilà donc partis à la recherche d'un 3 ou 4 ans sortie de débourrage pour du CSO voire un peu de dressage (enfin j'y pensais mais n'en parlais pas je "regardais" juste les allures comme critère).
Je vois deux trois chevaux et "craque" sur adorable selle français de 4 ans avec de magnifiques allures, un gros coup de saut, et une bonne tête (il n'a jamais cherché à me faire tomber ou embarquer)qu'on paye son prix mais un prix raisonnable tout de même.
De là les problèmes ont commencé : mon moniteur fuiyait les cours de plat je me suis donc débrouillée toute seule avec mon 4 ans et mon Galop 7...

Les choses ont été bien au début souvent de très bons tours sur les Cycles Libres... mais face aux erreurs de mon moniteur avec ce cheval (équitation très dure, pas légère, beaucoup en "tirant")... Nous sommes très vite arrivés à une situation très compliquée. A la fin de la première année de concours le cheval ne passait plus une croix...et lui tirant tellement sur la bouche avec un équilibre catastrophique que je me suis retrouvée avec un cheval qui tombait, nous nous sommes fait très peur, très mal...
J'ai pensé à le vendre car je tremblais rien qu'à l'idée de sauter, mais lui ne voulait pas (alors que la plupart de ses cavaliers changent tous les deux ans). A ce moment plusieurs moniteurs m'ont d'ailleurs dit que mon cheval était bien dressé "mais t'as fait un sacré travail dessus"...
J'ai alors chercher à changer d'écurie mais je ne trouvais pas "ce que j'avais toujours cherché". Jusqu'au jour où une cavalière discrète et sympa est venue essayer un jeune à la vente, bon je passe les détails mais j'ai changé le cheval d'écurie pour monter avec cette instructrice.
Elle a remis en question tout le travail qui avait été fait sur le cheval, l'a repris comme un 4 ans, l'a beaucoup monté, m'a donné des cours, mise face à mes problèmes, sans les contourner, en les affrontant vraiment. Pas en me faisant croire que que je sais faire. Au début on a fait des choses très très simples mais en essayant de les faire correctement,en travaillant sur mon cheval, sur ma position et c'était loin d'être gagné. Je ne passais plus une barre à 40 cm sans trembler et sans désordre, aujourd'hui on passe 120cm dans le calme et la décontraction... J'étais incapable de dérouler la plus petite reprise club de dressage, en un an de travail j'ai déroulé C4 à peu près correctement!

Avec le recul de cette année j'ai compris beaucoup de chose sur ce cheval : débourré complètement enfermé ce qui ne m'a pas aidée, le cheval a été pris dans la machine à fric des marchands de chevaux (vendu à un marchand de chevaux par son éleveur, qui l'a revenu le double à mon ancien moniteur qui a encore fait X 1,5 avant de me le revendre : pour venir de Normandie il a fait X3).
Autre chose, il était cencé être un "très bon" qui a passé les mailles du filet... oui car il a des problèmes de santé ( flébite non soignée de la jugulaire et queue cassée).
Les conclusions sont : mal encadrée, mal conseillée et les catastrophes tombent les unes après les autres, alors que j'ai un très bon cheval et qu'on a toujours dit que j'ai "la fibre équestre".

Je suis tombée dans ce système malgré moi, je n'ai pas eu le choix, heuresement la rencontre avec mon instructice a été salutaire pour ma survie équestre et pour l'avenir de mon cheval..

Désolée de la longueur mais je tenais à vous faire part de mon expérience de modeste cavalière!

Anne Sophie