réflexion sur l´objet de de forum

Bonjour,

Il est vrai que pour une majorité d´équitants de base (ceux dont vous parlez catherine), Saumur et Autouillet sont des lieux dans lesquels nous n´aurions jamais osé imaginer avoir un jour un ticket d´entrée...

De même, je n´aurais jamais eu connaissance de la pratique du Rollkur, des interventions de la SPANA, etc...

Moi, c´est cela que peut m´apporter AI. Je vais voir JDO au mois d´avril. Je ne saute pas plus de 50 cm, et sans AI, cette occasion de rencontrer une telle personnalité, dont on me rabat les oreilles depuis des années (n´y voyez aucun côté négatif...) n´aurait jamais pu exister (sans oublier le colonel carde au mois de juin)... Et pour Lucia également, je pense ?

Ces rencontres en régions, sont je pense, une évolution "dans le bon sens". En effet, elles ne peuvent se suffire à elle-même, mais l´augmentation du nombre des membres va permettre d´augmenter leur fréquence en diminuant les distances à parcourir (et donc d´autant les frais inhérents à ces journées).

AI est un point de rassemblement et rien n´empêche également les membres de se rencontrer ou de faire quelque chose en dehors du cadre... La "bulle" nous a permis de nous rencontrer, à nous éventuellement de prendre les choses en main pour continuer les échanges en dehors de cela...

Il ne faut pas oublier que notre soucis du bien-être de nos chevaux (pour ceux qui en ont) nous place dans une situation d´isolement géographique, et que AI nous permet de retrouver des gens "biens" à plusieurs centaines, voire milliers de kilomètres. Difficile dans ses conditions de pratiquer autrement que tout seul dans son petit carré de sable entouré de gens qui vous prennent pour un illuminé :)

StephE

(par StephE)

Cher Yves,

Je suis navrée que vous n´ayez pas eu autant d´adeptes que prévu lors de ces premières rencontres de région et j´espère que cette situation va s´améliorer.
Mon "coup de patte" (griffue!) sur l´Ukraine est à mettre sur le compte du reflexe de tout éleveur passionné: j´enrage quand je lis que A.I s´interesse à la promotion du Pur-sang ukrainien ( même si les modèles sur les photos m´ont plu) alors que la race anglo-arabe se meurt faute d´une équitation de légèreté en France...

Ma chere StephE, je partage aussi votre point de vue.

Amitiés,

Catherine.

(par Catherine Poder)

Cher Yves,

Je suis navrée que vous n´ayez pas eu autant d´adeptes que prévu lors de ces premières rencontres de région et j´espère que cette situation va s´améliorer.
Mon "coup de patte" (griffue!) sur l´Ukraine est à mettre sur le compte du reflexe de tout éleveur passionné: j´enrage quand je lis que A.I s´interesse à la promotion du Pur-sang ukrainien ( même si les modèles sur les photos m´ont plu) alors que la race anglo-arabe se meurt faute d´une équitation de légèreté en France...

Ma chere StephE, je partage aussi votre point de vue.

Amitiés,

Catherine.

(par Catherine Poder)

chere Catherine, une petite mise au point amicale: AI n´ambitionne pas de promouvoir le cheval ukrainien; c´est le propriétaire de cette écurie en Ukraine qui veut promouvoir l´association et sa philosophie auprès de ses compatriotes, formés à l´équitation allemande; amicalement;yk

(par yves katz)

Parcourez le nouveau livre de Klaus Ferdinand Hempfling : les images sont belles, les chevaux sont beaux et intactes, l´homme présente bien et doit plaire au public.
Au niveau réalisation équestre, il n´y a rien.Tout son livre présente une danse mélée d´idéalisme,une volonté de se faire accepter par la race équine et un regard ésotérique trouvant dans le cheval le serpent. Et aprés, que fait-on? Nous avons un besoin au fond de nous de réaliser quelquechose, d´avoir une oeuvre digne de ce nom. Les chevaux répondent à cette aspiration. Mais d´une réalisation et non d´une contemplation à rebours du cheval.
La déformation du langage, la mauvaise utilisation des mots entraînent une déformation de la réalité. La parole, où plutôt le verbe afin d´échapper à un déluge (verbiage) dans lequel on se noie. Certes, les érudits sans réalisation sont nombreux mais l´érudition est nécessaire afin d´éviter les pièges, de partager et de se faire juger car certains aspirent à être jugés pour avancer. Sans forum, pas d´échange, pas de façon de présenter les choses , pas d´ordre et surtout pas de principes fondamentaux arrêtés.

(par David)

Parcourez le nouveau livre de Klaus Ferdinand Hempfling : les images sont belles, les chevaux sont beaux et intactes, l´homme présente bien et doit plaire au public.
Au niveau réalisation équestre, il n´y a rien.Tout son livre présente une danse mélée d´idéalisme,une volonté de se faire accepter par la race équine et un regard ésotérique trouvant dans le cheval le serpent. Et aprés, que fait-on? Nous avons un besoin au fond de nous de réaliser quelquechose, d´avoir une oeuvre digne de ce nom. Les chevaux répondent à cette aspiration. Mais d´une réalisation et non d´une contemplation à rebours du cheval.
La déformation du langage, la mauvaise utilisation des mots entraînent une déformation de la réalité. La parole, où plutôt le verbe afin d´échapper à un déluge (verbiage) dans lequel on se noie. Certes, les érudits sans réalisation sont nombreux mais l´érudition est nécessaire afin d´éviter les pièges, de partager et de se faire juger car certains aspirent à être jugés pour avancer. Sans forum, pas d´échange, pas de façon de présenter les choses , pas d´ordre et surtout pas de principes fondamentaux arrêtés.

(par David)

Parcourez le nouveau livre de Klaus Ferdinand Hempfling : les images sont belles, les chevaux sont beaux et intactes, l´homme présente bien et doit plaire au public.
Au niveau réalisation équestre, il n´y a rien.Tout son livre présente une danse mélée d´idéalisme,une volonté de se faire accepter par la race équine et un regard ésotérique trouvant dans le cheval le serpent. Et aprés, que fait-on? Nous avons un besoin au fond de nous de réaliser quelquechose, d´avoir une oeuvre digne de ce nom. Les chevaux répondent à cette aspiration. Mais d´une réalisation et non d´une contemplation à rebours du cheval.
La déformation du langage, la mauvaise utilisation des mots entraînent une déformation de la réalité. La parole, où plutôt le verbe afin d´échapper à un déluge (verbiage) dans lequel on se noie. Certes, les érudits sans réalisation sont nombreux mais l´érudition est nécessaire afin d´éviter les pièges, de partager et de se faire juger car certains aspirent à être jugés pour avancer. Sans forum, pas d´échange, pas de façon de présenter les choses , pas d´ordre et surtout pas de principes fondamentaux arrêtés.

(par David)

Bonjour,
en y repensant, je trouve les critiques émisent dans ce fil de discussion assez tristes. Il ne sert à rien que les participants du forum se montent les uns contre les autres. Certains sont riches, d´autres moins, certains ont un cheval, plusieurs, d´autres pas... et certains sont des professionnels, et d´autres pas. Il y a de la place pour tous pour discuter du sujet de la légèreté, et il serait dommage d´exclure certains.
Je suis une cavalière lambda, je n´ai pas de cheval, j´ai même arreté de monter, en partie à cause de l´équitation que l´on m´y enseignait qui ne correspondait plus à mes aspirations de légèreté justement !
Alors, j´attend :
les discussions d´enseignants concernant la pédagogie, le travail des chevaux de club, etc... et rien !
Des enseignants qui se plaignent de leurs difficultés - et je les comprends - il y en as, et c´est tout.
J´ai monté 25 ans à cheval en club et on ne m´a jamais parlé de la cession de nuque (à si, les renes allemandes), ni la mobilité de la machoire par exemple. Vous trouvez ca normal ? moi, non, plus maintenant. J´apprend plus sur le forum qu´en tournant en rond dans un manège.
Alors, voila ma question : COMMENT ABORDER CONCRETEMENT LE SUJET DE LA LÉGÈRETÉ AVEC DES CAVALIERS DE CLUB EN REPRISE ? QUEL DISCOURS LEUR TENIR, ET QUELS EXERCICES LEUR FAIRE PRATIQUER ?
Amicalement, Marie.

(par Marie)

Marie je suis complètement en accord avec vous. il faut avant tout essayer de faire progresser les choses. Je regrette autant d´aigreurs sur ce forum où comme je le crois beaucoup ont profité (comme moi) des conseils des uns et des autres. Essayons de positiver même si les choses bougent lentement. Le nombre d´adhérents est déjà une belle preuve que les mentalités progressent. Je suis même arrivée à convaincre d´autres cavaliers maintenant adhérents. Cela s´est fait tout doucement et tranquillement (comme quand on fait céder un cheval).
Amitiés à tous

(par Antoinette)

l´enseignement de la légèreté en club passe par l´apprentissage du cheval( sa psycho, sa physio, sa mécanique, etc...), puis par l´xplication de ce que doit être la relation cavalier cheval( respect, confiance, réflexion, partage,...); il y a donc une dimension "intellectuelle" à la rechetche de la légèreté, accessible àtous ceux qui viennent à l´équitation pour le cheval; pour ce qui est de la technique, il faut dès le début faire travailler les cavaliers à pied, à la longe ou en main: si les deux protagonistes ne sont pas légers( discrets dans les demandes, souples dans la réalisation), il n´y aura pas de légèreté sous la selle; parallèlement à cela, on travaillera les cavaliers sur leur position: recherche de la décontraction , du liant, du sentiment pour une perception correcte du cheval( l´idéal étant d´enseigner alors à la longe ; et cela est possible dans un club, si l´enseignant sait se faire aider....); les exercices sont les mêmes que l´on fait partout, mais en cherchant à ce que le cavalier analyse ce qu´il fait; et op on pourrait encore parler longtemps de l´enseignement en club; pour ma part, maintenant, il faut agir; à votre disposition donc; amicalement; yves katz

(par yves katz)