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Réactions sollicitées?
Alors, d’abord un grand bravo pour l’initiative d’avoir créer cette association, ensuite, un grand merci pour l’accueil dans un lieu si adapté et agréable, et pour l’aimable mise à disposition des chevaux.
Bravo et merci à Catherine pour le ‘’spectacle’’ mémorable de Carino qui nous a déroulé sa KÜR…en licol.
Néanmoins, bien que l’initiative et la participation m’aient enthousiasmé, j’en suis reparti inquiet et déçu, pour plusieurs raisons.
J’espérais entendre plus souvent répéter à l’envie des repères objectifs nous permettant d’apprécier la légèreté des chevaux que nous voyons ou que nous travaillons, et des méthodes précises nous menant sur la voie de la légèreté, ou des mises en garde contre les erreurs de la fausse légèreté. Or ces questions n’ont été que peu abordées.
Par ailleurs, j’ai constaté un amalgame fréquent entre la notion de légèreté et ‘’rien’’-dans-la-bouche’’.
J’ai trouvé étonnant de voir présenter des poulains de trois ans, (au chanfrein déjà vertical), qui restent en place quand on détend les rênes ! ! ce qui prouve bien que le contact n’est pas élastique puisqu’ils ne cherchent pas d’eux même à reprendre ce contact que l’on vient de leur retirer.
Carino, KUR en licol ! Bravo, quel beau tour de …non-force. Je rends hommage à l’habileté de Catherine, mais l’absence de mors est-elle bien la panacée d’un dressage académique abouti ? Car lorsque je constate que le cheval est sous lui du devant et du derrière dans la rassembler , peine à rester la nuque réellement le point le plus haut dans de nombreux mouvements, ou a besoin de régulier petits coups de mollets au piaffer, je me dis que les critères suivants : le chanfrein en avant de la verticale, et la nuque le point le plus haut de l’encolure en toutes circonstances, un piaffer où le cheval abaisse ses hanches parce qu’il cède au mors de bride, cession attestée par la verticalité des branches du mors, (encore faut-il que le contact ne soit pas perdu), où les postérieurs sont à l’aplomb de la pointe de la hanche, où les antérieurs sont verticaux, et où le cheval semble se manier par lui-même (ce qui exclut les petits coups de talons), attestent mieux d’un dressage abouti, que l’éxécution sans mors des mêmes mouvements, ce qui reste en soit une performance absolument honorable, mais en dehors des valeurs de l’Equitation Académique française : Gl L’HOTTE : Questions .Equestres. p39 « La légèreté trouve, avant tout, son témoignage dans la soumission de la mâchoire… » Il me semble que c’est aussi l’opinion d’Oliveira, qui dit : ‘’Notes’’ p 22 : « se passer des aides, ce n’est pas abandonner le cheval, mais c’est garder le contact en agissant le moins possible. » ou « le cavalier qui, au nom de la légèreté, abandonne son cheval, ne travaille pas, il se promène ». Donc, en l ‘absence de mors, il ne saurait être question de ‘’légèreté’’, je craindrais, alors, que l’on ne parle plus de la même chose.
Je m’inquiète aussi quant aux divergences, certes bien légitimes, de motivations des uns et des autres : le but de l’association (la promotion de la légèreté en Equitation) est-il bien clair et partagé pour tous?
Ainsi, en voyant deux de nos enseignants omniprésents sur notre forum, se mettre à cheval, et continuer travailler (les mains dans le ventre, les ongles en dessous, bon) au lieu d’observer attentivement l’intéressante présentation de la ravissante jument de Catherine, je me pose la question de savoir si l’éventuelle ‘’recherche d’un auditoire’’, via l’association, n’est pas une motivation pour certains. Pourquoi pas? Mais il serait préférable que cela soit dans un but didactique clairement affiché, avec questions de l’assistance et commentaires, et que, comme dans le cas précédemment cité, cela ne demande pas à l’assistance de suivre attentivement deux présentations à la fois.
Je suis également un peu déçu de constater plusieurs écarts aux principes de l’Equitation Française synthétisée par Le GL.Decarpentry.
Le Gal LHOTTE nous a légué la conclusion suivante, qui vaut devise de l’Equitation Française : calme, en avant, droit, léger. Remarquons que la légèreté vient en dernier lieu, en aboutissement. Dès lors, je m’interroge sur le bien fondé d’une présentation visant à démontrer la légèreté de…poulains de trois ans, manifestement ni rigoureusement calme, ni résolument en avant, ni parfaitement droit, mais déjà…léger ?
L’HOTTE, Questions Equestres, p 30 : ‘’La légèreté, dont le caractère réside dans la flexibilité ELASTIQUE et moelleuse de TOUS les ressorts…’’. D’où la question suivante : L’encolure du poulain restant parfaitement en place lorsqu’on détend les rênes, est-elle élastique ? (Elasticité = Propriété qu’ont les corps comprimés de reprendre après compression la forme que la compression avait altérée).
Par ailleurs le Cdt LICART dans son ouvrage ‘’Equitation raisonnée‘’, p 25, précise bien que «AVANT de ramener, le cavalier doit être maître d’allonger l’encolure à son gré. » P 11 « Un rôle important fort important des muscles est donc de RAIDIR (dans le texte!) LA COLONNE VERTEBRALE pour que les muscles qui actionnent les épaules et les hanches puissent y trouver une solidité d’appui qui permet l’efficacité optimum de l’effort. …Cette fermeté, cette tension de la colonne vertébrale, qui alors se raidit, est indispensable à la production de l’effort. »
J’ai été surpris d’entendre que la bride ne sert qu ‘à décontracter un peu mieux, et à limiter les velléités du cheval à s’ouvrir. Quid de l’action fléchissante de la bride, et de toute l’éducation du cheval à y céder, pour obtenir la flexion de toutes les articulations de l’arrière main ? (Decarpentry p.149)
Car, un premier lieu, le filet sert à tendre le cheval vers l’AVANT, puis, ensuite, lorsque le cheval est capable de rester tendu et soutenu seul, la bride intervient pour transformer cette tension en flexion de TOUTES les articulations de l’arrière main. L’on passe, alors, de la mise SUR la main, à la mise DANS la main. (Colonel DE LADOUCETTE)
Decarpentry p 87 : « Pour la descente d’encolure…en faisant agir ses jambes, le cavalier ouvre ses doigts pour permettre…l’éloignement du nez dans un sens à peu près HORIZONTAL. »
Quid du maniement des hanches qui allonge le rein (et induit cette fameuse extension d’encolure), et du maniement des épaules qui vousse le rein et allège les épaules ?
Quel étonnement de voir ‘’placer plus bas’’ par bidouillage droite/gauche, pour aboutir au chanfrein carrément en deçà de la verticale, d’une part, et de voir l’absence totale de réaction ou de commentaire alarmant devant cette hérésie équestre, d’autre part !
Enfin lorsque je constate l’on ait mis 2h15 à lâcher le mot d’impulsion…je dois dire que j’ai quelques doutes.
Plus de dix années à me faire mettre ‘’les points sur les i ‘’ par Lucien Grüss d’une part et le Colonel Deladoucette d’autre part, m’ont convaincu de la plus minutieuse fidélité aux conclusions équestres de ‘’nos anciens’’.
Pour ma part, j’attends, d’ALLEGE, d’être conforté dans ce choix, aidé à maîtriser les techniques me permettant de le respecter.
Puisse cette première expérience ‘’à cheval’’ avoir des suites productives à défaut de trouver des ‘’entraineurs-légers’’ locaux , peut être que des regroupements de membres d’ALLEGE, bien d’accord sur la méthode de dressage, les critères à prendre en compte, etc pourraient humblement se retrouver pour s’observer mutuellement et se ‘’faire le miroir’’. Apprécier l’angle du chanfrein ou du mors de bride , la permanence du contact des rênes et des mollets, ou le non recul de la jambe interne en épaule en dedans, est à la portée des plus humbles, et apporte déjà beaucoup.
Encore tous mes remerciements, (et mes excuses pour la longueur)
(par Guillaume BOUDON)
le propre d´un enseignant est de répondre a
(par yves katz)
le propre d´un enseignant est, à mon sens, d´essayer d´apporter une réponse aux questions que peuvent se poser des personnes ayant une expérience moins longue dans un domaine précis; il est de son devoir de transmettre les connaissances qu´il a pu acquérir; ceci peut expliquer l´omniprésence de mes interventions; sans vouloir polémiquer, si j´ai besoin d´un auditoire, je peux le trouver, et j´en aurai plus de satisfactions, sur autre chose qu´un site virtuel; mais je reconnais qu´il est plus agréable, et plus facile, de parler de choses que l´on défend auprès de gens qui ont le même point de vue; je reconnais comme vous que j´ai eu un sentiment de frustration de ne pouvoir( de ne pas vouloir, à votre choix) suivre la présentation de C. Henriquet; nous n´avions pas plus que vous le timing de la journée; et lorsque nous a été offerte la possibilité de passer quelques instants sur le dos d´un cheval, j´avoue ne pas y avoir résisté; et lorsque je suis à cheval, il m´arrive d´oublier le reste....Cependant,ma satisfaction, de par mon rôle d´enseignant, n´était pas complète: ceci a été à l´origine de mon message concernant les quelques minutes que j´ai passé à cheval; transmettre est mon but, ma raison d´être( cela peut vous paraître utopique, ambitieux,...); et c´est pour cette raison que je m´investis dans l´association et que j´espère bien pouvoir intervenir dans les stages que ne manquera pas d´organiser, je le souhaite, l´association, pour le plus grand bénéfice des chevaux, de l´équitation et des cavaliers à la recherche d´une plus grande légèreté, à tous les niveaux de leur pratique équestre; je clos là, le rôle du forum n´étant pas de présenter de telles correspondances; amicalement,yk
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The own of a teacher is, in my opinion,to try to bring an answer to the questions that persons can arise,having a less long experiment in a precise domain;it is of his duty to pass on the knowledge which he was able to acquire: this can explain the omnipresence of my interventions;without wanting to be involved in controversy, if I need a public, I can find it, and I shall have more satisfactions of it, on an other place than a virtual site;but I recognize that it is more pleasant, and easier, to speak about things that we defend with people who have the same point of view; I recognize as you that I had a feeling of frustation not to be able to( not to want, in your choice) follow the work of C Henriquet; we didn´t have more than you the timing of the day;and when was offered to me the possibility to send some moments on a horse, I admit there not to have resisted; and when I am on a horse, I forget sometimes what is around ....However, my satisfaction, due to my teacher´s role, was not complete: this was the origin of my message concerning some minuts I passed on the horseback; to pass on is my purpose, my reason for being( it can seem to you utopic, ambitious); and it is for that reason that I put a lot in the association and that I hope I can indeed intervene in the trainings which will not miss to organize, I whish it, the association, for the biggest profit of horses, some equitation and the riders in a search of a biggest lightness, at all levels of their equestrian practise; friendly;yk
(par yves katz)
Il est évident que nous n´avons pas tous la même conception des chemins qui mènent à la légèreté, et probablement, à vous lire, pas la même conception de celle-ci, ni de la nécessité de la reléguer en dernière place, à la fin de l´éducation du cheval quand il porte une bride.
Nos anciens non plus n´avaient pas la même conception de la légèreté, il n´est pour s´en convaincre que de les lire, et d´observer la multiplicité révélatrice de leurs publications: si chacun a voulu expliquer sa propre démarche, ce n´était pas seulement par souci pédagogique, mais parce qu´elle différait. Difficile alors de leur être fidèle, à moins de se contenter de prélever chez eux des formules sorties de leur contexte. Eux ne sortiront certes pas de leur tombe pour nous contredire, dans une démonstration qui sans aucun doute décevrait à son tour.
La perfection n´est pas de ce monde, et je ne pense pas que Catherine ait prétendu nous la montrer (la prétention n´étant pas son fort!) . Simplement, à nous pauvres mortels, qui ne montons certainement pas si bien que vous, elle a donné envie d´aller plus loin. Nous sommes bien entendu avides de voir d´autres intervenants montrer à leur tour le chemin qu´ils proposent. Serez-vous de ceux-là ?
(par vsv)
Bien que je travaille déjà pour obtenir la légèreté, cette journée du 6 novembre m´a encouragée à poursuivre ma route. L´équitation n´est pas simplement monter à cheval mais c´est aussi communier avec sa monture et ce que nous avons vu était vraiment très beau. Le cavalier prend plaisir à monter son cheval et les spectateurs ne se lassent pas de regarder. Mon désir d´atteindre ce niveau de discretion et d´efficacité à cheval s´est renforcé mais la route est encore longue avant d´y parvenir. Cependant, je ne désespère pas.
Cette journée, bien qu´enrichissante, m´a paru trop courte et peut-être serait-il instructif de faire plus de commentaires sur la façon de parvenir à travailler dans la légèreté et sur l´attitude du cheval qu´il faut rechercher, soit à partir d´une vidéo, soit en suivant une séance de travail. Il me semble intéressant d´écouter l´expérience de ces cavaliers qui travaillent dans le respect du cheval.
J´espère que d´autres réunions pourront avoir lieu et que l´association pourra aider à faire progresser ses cavaliers-adhérents.
Amicalement.
Blandine.
(par blandine sarochus)
Bonjour à tous,
Je n´étais pas à la réunion du 6 (toujours frustrée), mais je pense que Guillaume pose un problème éternel dans l´équitation : celui du sens des mots.
Je pense qu´on fait aujourd´hui un amalgame faux entre la légèreté et la douceur, la non-violence, la non-barbarie.
Il est vrai que l´on entend souvent que monter rênes longues, c´est monter léger parcce qu´on ne fait pas mal à son cheval (en fait, c´est surtout qu´on croit ne pas lui faire mal). Mais ce serait réduire la légèreté à la main, et je pense qu´elle est bien plus large que ça.
Il est vrai que si l´on prend le but intrinsèque de l´association (la défense de l´art. 401 du règ. FEI), il ne peut être question de trouver la légèreté rêne longue ou en licol (ledit licol n´étant pas sans incidence...) puisque c´est ce même réglement qui impose bride et éperon, l´acceptation de la bride et des éperons faisant partie du dressage du cheval (ou alors, il faut changer le reg.)
Ceci dit, les rectangles de la FEI ne sont pas pour le pauvre pékin que je suis. Alors j´essaie dans mon "bac à sable" de monter léger. Et pour moi, monter léger, c´est essentiellement être à l´écoute et comprendre mon cheval (aussi bien dans la biomécanique, le mental, les humeurs, etc...). Pour moi, ce n´est pas monter rênes longues, mais c´est faire aussi souvent que possible des descentes de mains et de jambes, c´est être au-dessus de la boule de billard et la faire bouger du frémissement du bout du doigt. Il en est ainsi, parce que l´idole que je me suis trouvé n´est ni Baucher, ni La guérinière, ni je-ne-sais-quel-nouveau-maître,... mais c´est Oliveira (et je vous rejoint donc, Guillaume, dans vos explications sur la nuque, l´épaule en dedans, etc...). Il faut aussi préciser qu´entre ce que l´on dit et explique, étant comme un idéal, et ce que l´on réussi à réaliser à un intant T, il peut y avoir un fossé énorme.
Cependant, il faut admettre et tolérer (oui, oui, "tolérer", je sais que ce n´est pas le fort dans le monde équestre), et même essayer de comprendre (je m´adresse ici à tous les cavaliers, pro ou non, que j´ai rencontré qui s´imaginent qu´ils savent tout et qu´ils n´ont rien à apprendre des autres, quelle triste vie ils doivent avoir) ce que font les autres dans les autres disciplines. En effet, à partir du moment ou quelqu´un est capable d´expliquer ce qu´il fait, je considère qu´on peut au moins se pencher sur la chose (merci à tous pour vos explications...)
Et c´est ainsi que j´ai appris à longer avec une longeuse de voltige, que j´ai fréquenté des gens dans le CSO (bon, là je mets juste les barres...), dans le complet (la partie dressage y est très intéressante), dans le reining (mêmes buts, mais moyens différents), dans le loisir (ballade, rando), dans l´attelage, dans l´éthologie, et chez A-I... Et je peux vous assurer qu´il y a partout des choses intéressantes à apprendre (y compris en matière de légèreté) et des gens fermés qui refusent d´apprendre de l´expérience des autres.
Alors personnellement, j´attend d´A-I que chacun ici soit capable de m´expliquer ce qu´il fait (pourquoi, comment, pourquoi comme ça et non comme ci). A partir du moment que l´explication tient la route, je suis prête à l´accepter comme une possibilité à utiliser dans certaines configurations. Cela ne présume pas que je remettrais en cause 23 ans d´équitation pour tout changer (je n´arrêterais pas de longer en filet, mais je suis prête à étudier les avantages du caveçon, par exemple), mais que je peux ajouter certaines pratiques à mon "répertoire", mon principe de base étant de ne faire que ce que je peux expliquer.
J´attend avec impatience dimanche prochain où je prend une leçon chez un membre d´AI, puis la prochaine réunion pour pouvoir vous assaillir de mes questions tordues (vous finirez par me bailloner et m´enfermer dans un coffre de voiture, vous verrez :). Et puis j´ai décidé de devenir juge (départemental) de dressage, parce que je pense qu´il y a beaucoup à apprendre, et que pourquoi pas, je suis pas plus bête que la majorité des juges (enfin, je crois).
Alors voilà. Tout ceci est un peu confus et surtout très long (aie la traduction, sorry)
StephE
(par StephE)
Bonjour StephE
juste un petit mot et un petit "conseil" pour souligner au passage une image que j´apprécie.
Lorsque vous êtes au-dessus de la "boule de billard", pensez aussi à la faire bouger au frémissement de votre assiette... :-)
Cordialement
PK
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Hello StephE
just a little word and a little "advice" to underline at this opportunity a picture that I appreciate.
When you are above the "billiards ball", think too to make it move with the "thrill" of your seat... :-)
cordially
PK
(par Peteris Klavins)
Oui, en fait, c´est bien de cela qu´il s´agit puisque mon doigt sur la boule de billard représente en fait mon corps, et donc mon assiette :)
Mais rendons à césar ce qui est à césar, cette image, je la tient de Guillaume Henry.
StephE
(par StephE)
StephE
Oliveira, quant à lui, parlait d´une orange; la sensation est la même; et je me permets de vous adresser mes compliments( cela ne fait jamais de mal) pour ce que vous avez su exprimer et analyser dans votre précédent message: on a toujours à apprendre et tout ce qui s´explique et qui tient la route est bon à étudier; amicalement;yk
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Oliveira was speaking of an orange; the feeling is the same; and I allow to send you kindest regards( It never hurts) for what knew how to express and analyze in your previous message: we always have to learn ; and all which is well explained and which"holds the road" is good to study; friendly;yk
(par yves katz)
Il est un homme, en particulier, sans lequel la merveilleuse journée du 6 n´aurait pas vu le jour, qui voue tout son temps et son énergie à l´association, et qui mérite notre reconnaissance . Il a fait de sa profession, une passion et inversement de sa passion une profession ( de foi ! ) qu´il continue à véhiculer dans le monde . Sa courtoisie est désormais légendaire. merci Colonel Carde ( et merci à Bernardine, d´ailleurs, il ne faudrait pas oublier de distribuer les auto collants !!!) ( note du Colonel)
(par sylvie Anduze-Acher)