pb de bouche

Je tiens à vous préciser que je ne suis qu’un simple intervenant, qui plus est autodidacte et constestataire.
Vous ne devez pas faire de complexes au sujet de votre discipline, car elle a pour base, comme pour toutes les pratiques équestres, le dressage, travail sur le plas oublié par beaucoup trop de cavaliers de S.O..
Le cheval bien mis vous montrera le chemin, mais le rétif et le difficile vous forgera votre expérience. C’est un chemin complexe, mais tellement plus intérressant où il vous faut constamment vous remettre en question et présentir la venue d’un échec afin de palier à vos erreurs.
Pour le travail à pied, lisez, mettez en pratique, très doucement et très prudemment.
Pour la lecture, Kerbrech.
Si vous ne possédez d’exemplaire de “DRESSAGE MÉTHODIQUE DU CHEVAL DE SELLE”, je peux vous faire parvenir un exemplaire que j’ai numérisé (libre de droits), dans ce cas, remplissez, dans votre prochain message, la case où il vous est demandé votre email.
Bon courage
Jacques

(par Jacques)

Je ne fais absolument pas de complexe par rapport à ma discipline de prédilection qu\'est le S.O. qui me plait par tous ses aspects. Pour bien sauter il faut à mon sens disposer de chevaux bien dressés car la majorité des problèmes à l\'obstacle se règlent avant tout sur le plat et c\'est en ce sens que le dressage du cheval me passionne même si je pense que le S.O. a des impératifs qui lui sont propres et que de ce fait le dressage d\'un cheval d\'obstacles diffère quelque peu de celui d\'un autre destiné àla compétition de dressage. Je me qualifiais précédemment de "brebis égarée du S.O." car comme vous l\'avez très justement souligné, les cavaliers d\'obstacles négligent bien trop souvent le dressage de leur chevaux et par conséquent il m\'arrive de me sentir bien seule.
La remise en question permanente dont vous parlez devrait être la préoccupation de base de tout cavalier qui souhaite faire acte de dressage. J\'ai actuellement six chevaux dont un vrai rétif (repenti) avec lesquels je suis partie de zéro et c\'est vrai que c\'est un travail captivant et combien enrichissant!
Je ne possède pas d\'exemplaire de l\'ouvrage que vous me conseillez aussi je vous serez reconnaissante de m\'en faire parvenir une copie. Je vous en remercie par avance.

(par Caroline)

Je vous est fait parvenir l\'ouvrage par mail en pièce jointe.
Tenez-moi au courant de sa réception, bonne ou mauvaise.
À bientôt.
Jacques

(par Jacques)

J\'ai bien reçu l\'ouvrage que vous m\'avez fait parvenir, je vous en remercie beaucoup. Je me mets de suite au travail encore merci et à bientôt.

(par caroline)

Puisque cet ouvrage vous est parvenu, que vous allez le lire, que vous allez expérimenter votre lecture, je dois impérativement vous faire certaines recommandations.
Il faut dans un premier temps, grâce au cheval le plus léger à la main dont vous disposer, les rênes tenues comme indiquées dans le livre, que vous perceviez l’impression que représente un cheval léger à la main dans le travail à pied, dans la marche sur le droit, sur un ralentissement, un arrêt, un reculer par la main seule, un remise en avant par la cravache. Il ne faut, à aucun moment, que vous ne perceviez la masse de ce cheval dans vos mains. Si ce n’est le cas, là vous pouvez utiliser la force (vous êtes descendue du chariot), cette force représente quelque chose et cette force ne doit être que résistance et seulement résistance. Si votre meilleur cheval présente cet inconvénient, pratiquez en premier le reculer par la main seule, il comprendra très vite.
La lecture de cet ouvrage va vous laisser perplexe, cette méthode chamboule tout ce qui vous a été dit jusqu’à présent sur le dressage d’un cheval. Ne portez pas de jugement sur cette méthode, attendez vos premiers résultats. Allez doucement, très doucement, avec prudence, il y a là des moyens très puissants car ils s’adressent au mental du cheval, et non pas à son physique. Ne grillez pas les étapes.

Tenez-moi au courant de votre progression, de vos difficultés, des questions que cet ouvrage va vous amener à vous poser.
Bon courage.
Jacques

(par Jacques)