TRAVAIL sur le PLAT
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Bonsoir,
Jean St-Fort Paillard développe l'idée du confort physique du cheval favorisant la qualité morale de l'impulsion.
Il faut aller le lire... C'est trop bon à lire !
Amicalement.
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Et hop, le courageux Serge qui fait depuis ce matin le tour du forum pour effacer tous ses messages ....
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Keskisspasse ?
@ Berthier Pascale.
Vos messages sont tres interessants. Les passages sur le depart au galop, l'EED, la flexion de machoire, le refus, les allures trot-galop-cadence, l'elevation du garrot, le reculer, ainsi que les dispositions phy et psy, l'equilibre, l'impulsion, l'engagement, les crises reactionnelles de peur ou de pretexte de l'ado a se substituer a la concentration sur les aides du cavalier face a un pot de fleur en C ou vis a vis de bidons a l'entree de carriere, etc..., nous amener cette histoire d'inconnus volant Flipper, et voila que la question se pose:
Que s'est il passe avec les inconnus. Ont ils saute avec toute la nuit? A t-il subit un traumatisme?
Ahhhh mais tout à fait Cher Frank! Rien de ce que je pense, dis/écris ou fait ne s'oppose à ce que vous exprimez ici :-)
On ne peut seulement pas tout faire ce que je dis, comme je le dis, aves TOUS les chevaux et....on ne peut pas non plus faire tout ce que vous exprimez ici à chaque même situation, avec TOUS les chevaux.
Mais, il n'empêche que toutes les solutions décrites par vous comme par moi peuvent être LA solution du moment.
cordialement, Pascale
Bonsoir,
Je reviens en arrière...
On dira que le voleur de Flipper n'a pas pu découvrir durant l'instant de son "essai" les aptitudes sportive et morale du cheval... C'était un peu court.
Un cheval qui refuse devant un obstacle, en dehors de la provocation de son instinct de conservation, ne reconnaît pas à cet instant l'autorité du cavalier sur son corps et en particulier sur l'animation de ses postérieurs pour avancer, donc de son rein...
La flexion du rein et/ou la flexion de la mâchoire (signalée plus haut, mais devant une barre posée au sol)), il s'agit d'une réciproque à appliquer dans le sens que l'on veut, l'une facilitant l'autre et inversement...
A ceux qui montent à l'obstacle et qui ne pratique pas le monde inconnu de la "flexion de la mâchoire", l'aisance des mouvements du rein, des hanches du cheval est de même valeur.
Cette activité de la ligne du dessus lorsque elle est pleinement facilitée sans opposition du cavalier entraîne la détente du reste du corps du cheval dans l'effort, et bien sûr de sa bouche également.
(Par rapport au refus dont on parle et qui serait l'aboutissement négatif d'un travail) : la franchise d'un cheval libre de toute opposition (inconsciente) en provenance du corps du cavalier s'affiche à la longue comme la qualité conséquente la plus spontanée et la plus surprenante que celui-ci peut donner.
L'accompagnement intégral du cavalier conditionne le cheval à y mêler son propre mouvement : ne serait-ce pas en fait l'origine de l'impulsion ? Il n'y a pas que l'obéissance aux aides...
Le saut d'obstacle est en bonne place pour profiter de cette qualité, parce que ce cheval gagne en couverture.
A chacun à cheval d'effectuer ses observations et de les retenir...On ne pense pas à toute l'importance quotidienne (sur l'avenir) du comportement du cavalier à cheval...
Alors, appliquer des flexions de mâchoire sur un cheval dont le dos a la tâche compliquée par ailleurs ?
C'est pourquoi la sensibilisation, du cavalier à cheval, à la nécessaire activité de la ligne du dessus devrait précéder l'apprentissage de la flexion de la mâchoire.
Je propose que l'exercice proposé par Serge soit intitulé (bien respectueusement) "cérémonie de la salutation à la barre". Il s'agit probablement de la rééducation de cas graves.
Amicalement.