Merci Jean MB.. La pratique équestre et la culture qui en découle ont toujours de loin surpassé la culture livresque...............Il est bon de temps en temps de le rappeler!

Mais quand on a les 2, c'est encore mieux, non ?

Certes mais c'est quand même à cheval qu'on apprends à monter ! voilà pour la la palissade du jour qui ici pourtant semble parfois utile à rappeler .
La pratique est autrement plus indispensable que la culture ( "les livres ne servent qu'à ceux qui savent ")  

je suis tout à fait d'accord de dire que la culture n'est qu'un cadre qui repose obligatoirement sur la pratique ... 

que de sagesse de toutes parts en ce chaud week end d'été ...

Petit retour arrière

2 érudits qui discutent et c'est très intéressant parce que ce qui les sépare n'est pas leur érudition mais leur interprétation de textes

à part le plaisir de compter les points qu'est-ce que ça apporte concrètement à ce sujet  dont le titre n'est pas "docte exégèse d'un traité d'équitation" mais "position académique et légèreté" ?
surtout quand d'un côté la discussion se borne à dire qu'aucun interlocuteur ne comprend rien au texte quelle que soit son érudition

Quand on monte sur un cheval bien en équilibre, et avec les conseils d'une personne compétente

il n'y aurait donc pas que la magie du cheval ? alors nous sommes d'accord

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à part le plaisir de compter les points qu'est-ce que ça apporte concrètement à ce sujet..

Je ne compte pas les points ; je me fous de savoir s'il y a un gagnant. J'essaye de réfléchir aux propos des intervenants et je trouve ça intellectuellement "nourrissant". Je comprends que ça puisse ne pas passionner. Quant au sujet...  Position académique et légèreté... Pour ma part, j'ai l'impression que la problématique date d'un autre temps.

il n'y aurait donc pas que la magie du cheval ? alors nous sommes d'accord

Sans doute que pour un cavalier aguerri, la magie du cheval suffit. Mais pour l'apprenti, l'enseignant n'est pas sans importance, ça me semble évident. Mais qui dit le contraire ? Pas moi en tout cas. Je dis simplement que, d'après mon expérience, il est plus facile de fonctionner (et donc de se positionner) sur une cheval bien mis que sur un "bourricot". C'est sans doute une "lapalissade" à rapprocher de celle de Juliette un peu plus haut, mais apparemment, il n'est pas non plus inutile de la rappeler après avoir lu ce qu'on a lu et vu ce qu'on a vu.

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