Fonctionnement du mors
- Login to post comments
502 Bad Gateway
mais bien sur ... je regrette tes lumières dont je me faisais une joie , mais je félicite ton sens de la répartie ...
en tous cas je te le confirme , sur un cheval raide , le mors agit bien comme renforcement négatif , il arrete les épaules et il provoque le traversement des hanches
LOL
Sur un cheval souple aussi le mors est utilisé comme moyen de renforcer négativement une réponse...comme je l'ai expliqué.
tu sais qu'il n'appartient qu'a toi que cela devienne un moyen positif , un moyen d'assouplissement , et non le moyen provoquant le traversement des hanches , comme chez tous les cavaliers qui ne savent pas s'en servir ...
tu es libre d'avoir les ideologies qui te plaisent , et on est libre de ne pas les suivre .
Et si tu ne me crois pas prends ton cheval souple, mets lui un licol plat, accroche deux rênes, et tu vas voir combien de temps il conservera sa souplesse.
Cavaliers dont tu fais partie, comme tu l'as admis toi-même...
tu es libre d'avoir les ideologies qui te plaisent , et on est libre de ne pas les suivre .
Voilà un appel à la tolérance inattendu de la part de quelqu'un qui n"hésite pas à jeter l'anathème sur tous ceux qui ne partagent pas son intérprétation de vieux livres poussiéreux...sans jamais montrer DE VISU en quoi SON interprétation est tellement supérieure à celle des autres..
Le mors se doit de rester vivant.
Consensuel.
(Soyez indulgent, nous sommes dimanche).
Le consensuel, c'est gentil, mais la clarté, c'est mieux.
Upwelling, je sais parfaitement à le lire quelle équitation il pratique. Ses références sont évidentes, il ne se prive d'ailleurs pas de les rappeler (Je sais qu'on peut toujours discuter sur la lecture qu'il en fait, Jean ne s'en prive pas, mais au moins le lecteur a un répère évident). Du coup, je comprends ce qu'il dit et je vois parfaitement où il veut aller et comment. Libre à chacun d'être d'accord (un peu, beaucoup, pas du tout) avec lui.
Depuis le temps que je le lis, des références d'Hervé je ne sais rien du tout. J'ai bien des idées mais pas de certitudes sur ses inspirations équestres, l'équitation qu'il pratique... Du coup, il ne m'est guère compréhensible. Il est souvent "contre" une personne, une idée, une proposition... mais je n'ai pas souvenir de l'avoir lu expliquer clairement quelles sont ses références. Peut-être suis-je le seul dans ce cas ?
en attendant ...
Au risque de trop simplifier, peut-on considérer deux conceptions ?
L’appui -contact qui permet au cheval de s’organiser, de développer sa locomotion en remontant la base de son encolure , son dos , ceci sans se contracter, qui permet la perméabilité, le demi arrêt qui met sur les hanches, ce qui correspondrait à la manière classique (LG , Steinbrecht)
C'est un appui-contact qui doit rester mesuré et agréable au cheval donc hors de la logique de renforcement négatif qui lui implique la supression d’une gêne qui là n’existerait pas. Le cheval ne devant ni forcer ni lâcher la main.
Autre conception, la main qui se fixe ou qui vibre et qui demande au cheval de céder, donc de rompre l’appui ou les résistances, qui elle est dans la logique du Renforcement négatif, le cheval validant lui-même la cession : je cède= la gêne disparaît. C’est le « demander la légèreté » chez Faverot de Kerbrech.
La conception classique est largement utilisée dans le dressage actuel, avec les dérives bien connues, mais je pose la question , cet appui semble antinomique avec la puissance des brides en usage à l’époque de La Guérinière, comment cela s’articulait ?
Depuis le temps que je le lis, des références d'Hervé je ne sais rien du tout. J'ai bien des idées mais pas de certitudes sur ses inspirations équestres, l'équitation qu'il pratique...
Il me paraît assez évident pour qui me lit que je pratique l'équitation éthologique. L'équitation éthologique n'étant pas en elle-même une discipline, je la pratique dans le cadre d'une équitation de loisir, d'extérieur, inspirée de celle de Caprilli (comme vous pouvez l'imaginer après la discussion houleuse que nous avons eu à ce sujet).
J'ai aussi pratiqué l'équitation western, qui est celle des chuchuteurs.
J'ai appris à la fois de l'équitation western traditionnelle et des chuchoteurs la monte sans mors, que je pratique exclusivement depuis plusieurs années.
En résumé ce qui m'intéresse, l'objet de ma quête, est une équitation la plus naturelle possible (on peut discuter à l'infini sur sa possibilité).
Du coup, il ne m'est guère compréhensible.
Pourquoi avez-vous besoin de mettre quelqu'un dans une case pour comprendre ses propos ?
Il me semble être très explicite sur ce sujet par exemple.
Il est souvent "contre" une personne, une idée, une proposition... mais je n'ai pas souvenir de l'avoir lu expliquer clairement quelles sont ses références. Peut-être suis-je le seul dans ce cas ?
Voilà un appel à peine déguisé au lynchage forumesque.
Bien, au moins on progresse...
Non, tu prétends le savoir, comme tu prétendais savoir comment le mors fonctionne avant que je montre qu'en fait tu n'en sais rien, ce que tu viens d'admettre.
Maintenant que tu viens d'admettre ton ignorance d'un sujet assez basique, j'espère que tu sauras te montrer moins prétentieux, dogmatique et intolérant que tu n'avais l'habitude de le faire.
Ta dernière question mélange tout, et me prête même une opinion que je n'ai pas.
Tu te doutes bien que je ne vais pas faire ton éducation équestre après la façon dont tu t'es comporté...je me contenterais de te rappeler cette discussion à l'occasion...