Engagement des postérieurs
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Ce forum nécessite sans cesse de revenir au texte de Decarpentry, en ce sens il est un bon outil de " formation continue" :)
Les chapitres " la mise en main" et " le ramener" sont d' une densité rare !
On y trouve bien ceci ( entre autres joyeusetés) :
On s' efforce dans le cours du dressage de " pousser le cheval sur son embouchure" en le faisant " entrer dans ses renes " et " tirer sa voiture"
Rien que pour te faire plaisir Pierre, chez ce même Decarpentry on peut lire dans un autre chapitre : "Il faut s'efforcer de conserver la continuité de l'appui en suivant la bouche dans ses déplacements, tant en arrière qu'en avant".
Personnellement je pense qu'il est plus agréable de conduire un cheval sans devoir porter en permanence le poids de sa tête et d'autre part, comment pratiquer la descente de main avec un cheval à qui on a appris à s'appuyer continuellement sur la main ?
Associer la notion d appui et le fait de porter la tete du cheval ........comme si le fait que mors appuie dans la bouche entrainait une detonification des muscles qui soutiennent l' encolure ! curieux.......
Associer la notion d appui et le fait de porter la tete du cheval
Appuyer c'est peser, c'est comme ça que je vois les choses mais on est pas obligé d'être d'accord.
Tu n'a pas relevé ma remarque au sujet de la descente de main, tu es très sélectif ;-)
Toujours pour toi, cette photo du bon appui sur la bouche publié dans un bouquin d'Henriquet, qui dans la définition de l'appui dit ceci : "il est difficile mais indispensable d'arriver à une liaison entre la main et la bouche où n'interviennent jamais de forces et de poids".
Pas selectif, synthetique......si appui n est pas egal a porter, en consequence descente de main possible......
tres jolie photo, saut de l' ange ?
Pas selectif, synthetique......
Un peu sélectif quand même, à t'écouter : LG, Plinzner et d'autres ... même combat. On fait dire aux textes ce qu'on veut qu'ils nous disent et on trouve chez chaque maître ce que l'on a envie de trouver ;-)
tres jolie photo
N'est-ce pas ? Ce de l'humour façon M.H
Je remarque aussi que le terme "appui" ne fait pas partie du vocabulaire d'Oliveira.
Oliveira ne dressait pas pour la competition de dressage, n' ayant aucun imperatif de coller a une esthetique, pour ne pas dire autre chose, il se peut qu 'il ait pris quelques libertés ..comme un artiste peut prendre des libertés avec les perspectives :)
Decarpentry lui ecrivait pour " faire gagner la france" pas le meme combat :)
Decarpentry lui ecrivait pour " faire gagner la france" pas le meme combat :)
Si Decarpentry l'a dit, c'est que tout est dit !
Et du coup, pas la peine de rechercher la légéreté, ne seresse que pour le respect de l'intégrité du cheval, puisqu'il faut gagner !
Donc on est là ? C'est pathétique.
Decarpentry lui ecrivait pour " faire gagner la france" pas le meme combat :)
Mouais ... "faire gagner la France" ça fait un peu "tous les coups sont permis". Je préfère l'art à la compétition, car cette compétition elle pue.
Allège Ideal
source Michel Henriquet ( via un proche - mais je peux mettre au conditionnel si vous voulez mon texte de départ )
J'ai une admiration sans borne pour Oliveira , il s'agissait juste de rappeller qu'il faut du temps pour faire un cheval et plus encore un homme de cheval , et que les erreurs font partie du chemin . Nier que les erreurs ont des conséquences ne me parait pas crédible . Voilà tout . .Je voulais juste illustrer que même les plus grands ont commencé au début , ont tatonné et fait des erreurs , un génie n'est pas un dieu , et des erreurs de stratégie ça se traduit par des effets néfastes ( pas forcément irréversibles toujours , cela dépend du temps à en sortir ) soit sur le physique soit sur le mental , et il en reste toujours des traces .
Mais sans doute aurais je du m'abstenir d'écrire cela ici . Et encore une fois le but était seulement de dire que nos erreurs ont des conséquences et aussi que c'est par elles que nous apprenons !
Bien amicalement .
juliette
ps: cela dit si le sujet doit partir en sucette je retirerai le passage Oliveira que j'avais héisté à mettre d'ailleurs .