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Stage animé par Jean-Philippe Giacomini, les 1 et 2 mars 2014

18 réponses [Dernière contribution]
Jean-Philippe
Déconnecté
Inscrit: 26/09/2008

Merci de ne poser dans ce sujet que des questions concernant le stage et son organisation. Pour tout autres questions concernant la phylosiphie du travail de JP, vous pouvez ouvrir un autre sujet auquel JP ne manquera pas de répondre :

Lien vers le site de présentation de la venue de JPG

Jean Philippe Giacomini (« J.P. ») a monté en course, en complet et en hippique dans sa jeunesse, puis a étudié avec Nuno Oliveira et Dom José Athayde pendant plusieurs années quand il vécut au Portugal, avant de partir en Angleterre comme entraineur de chevaux internationaux dans les 3 disciplines. Des chevaux qu’il a entrainés ont été champion et vice-champion d’Europe de complet (4 médailles d’or et une d’argent en 5 ans), son cheval de grand Prix de dressage (un lusitanien) a été champion aux gains de concours hippique pour l’Angleterre avec John Whitaker, d’autres ont eu du succès en internationaux de dressage et beaucoup sont simplement devenues d’agréables montures, physiquement et émotionnellement confortables dans leur coopération avec des cavaliers amateurs. Depuis 30 ans, il vit aux USA ou il enseigne à des cavaliers de toutes disciplines et travaille des chevaux de multiples races, se spécialisant dans les problèmes difficiles de comportement ou de biomécanique jusqu’au niveau du Grand Prix. Il est aussi éleveur et a une grande expérience des étalons et des jeunes chevaux. Il a donné des stages en France, Allemagne, Angleterre, Irlande, USA, Canada, Australie, Brésil, Mexique, Amérique Centrale, à de très nombreux cavaliers variant depuis le stade amateur jusqu’au niveau olympique.

JP sera l’hôte de Catherine et Michel Henriquet à Autouillet les 1 et 2 mars prochains ou il donnera un stage de 2 jours et des leçons privées avant et après. Le programme couvrira les techniques particulières développées par JP durant une carrière de 45 ans dédiée à l’équitation classique, à la compétition internationale et la recherche sur le comportement et la biomécanique (y compris le travail en main et à la longe). En particulier, il a développé la technique de l’Endotapping™ qui consiste à tapoter le cheval (et le cavalier) dans des rythmes particuliers qui produisent la relaxation complète dans les circonstances alarmantes pour le cheval et augmentent l’amplitude et la souplesse des allures d’une façon permanente. Il montrera aussi le résultat de ses travaux sur la flexion latérale du dos et sa relation avec l’assiette du cavalier, ainsi qu’une approche inédite des problèmes d’équilibre et d’impulsion par la symétrie des antérieurs. 

Le prix du stage est de 200 euros pour 2 leçons sur 2 jours et 30 euros pour les auditeurs (1 jour) ou 50 euros pour les 2 jours. Les cavaliers sont invités à rester toute la journée afin de mieux comprendre le système présenté et l’observer sur les autres chevaux. Les auditeurs pourront poser des questions à JP qui fait toujours un effort particulier pour les inclure dans le processus d’entrainement des chevaux présents. Il est recommandé que les auditeurs assistent aux 2 jours afin de voir comment les chevaux progressent. 

Possibilité de stages privés autour de cette date n’importe où en France. 

Pour tous détails, contacter Jean Philippe Léon 

soit par téléphone : ++33 (O) 6 28 32 71 82 

soit par mail : contact [at] equitation-passion [dot] com 

ou en répondant à ce post.


La Philosophie de la méthode de Jean Philippe (JP) Giacomini 

• Une bonne assiette et un cavalier qui va de l’avant

Le développement de la méthodologie de JP Giacomini a commencé en France dans les années 60 sur une base d’équitation militaire alors enseignée dans un club de L’Isle-Adam (95) par le capitaine Hubert Clauzel. Une équitation simple faite d’exercices de mise en selle répétés, de hardiesse à l’extérieur (hippique, complet, course d’amateurs, entrainement à Chantilly, etc.) et déjà de beaucoup de chevaux montés. 

• Un équilibre dans le rassembler sans compression et (presque) sans demi-arrêts

La découverte du travail de Michel Henriquet et de Nuno Oliveira le convainc dès l’âge de 16 ans de la possibilité d’un équilibre du cheval fait de relaxation et de légèreté dans un rassembler très actif où il parait se manier de lui-même. Le grand avantage de l’enseignement de Nuno Oliveira est qu’il représentait déjà une synthèse élégante et efficace de tout ce qui avait été découvert avant lui par les auteurs classiques, un raccourci de toute l’équitation de valeur. Le Maître était un cavalier éminemment pratique, épris de réflexion et capable de changer sa pratique avec l’évolution de sa pensée. C’est un modèle que JP Giacomini a suivi jusqu’à aujourd’hui.

• Le cheval juste éduque le cavalier dans la justesse de ses sensations

Après plusieurs années passées à étudier au Portugal en montant de nombreux maitres d’école et poulains au débourrage, il réalise que l’idée classique du ressenti de « la sensation juste » à cheval est la clef incontournable de l’apprentissage de l’équitation. Il comprend que l’éducation des cavaliers qui peut prendre 10 ans est très inconfortable pour le cheval qui doit souffrir de toutes les maladresses, manque d’équilibre et de coordination de son cavalier encore inexpérimenté. Toute sa vie, JP cherchera les moyens de donner rapidement au cheval un fonctionnement sous la selle le plus correct possible (impulsion, équilibre, symétrie, relaxation). Ce modèle dynamique et postural est proche de ce que l’étalon fait en liberté quand il « parade » devant les juments, moins l’excitation. JP cherche à y arriver par les moyens les plus simples, sans nécessairement passer par un dressage compliqué et peu accessible aux cavaliers amateurs. Cette éducation « accélérée » du cheval lui donne le confort physique (et par conséquent la relaxation émotionnelle), cela sans perdre la beauté qui nous fascine tant. Pour être une approche vraiment efficace, elle doit être réalisable même pour un cavalier non encore complètement éduqué qui aura à son tour l’opportunité d’apprendre à s’aligner avec un cheval souple et léger et donc de commencer à pratiquer une équitation juste, bien que très simple. Cela permet que plus de chevaux soient heureux dans leur travail et que plus de cavaliers puissent prendre plaisir à l’équitation et continuer leur pratique dans le respect du cheval et l’enthousiasme personnel. 

• La gymnastique classique s’applique à tous les chevaux, du sport équestre a l’obstacle jusqu’à la haute école. La fonction du dos est la clef du bien-être et de la performance du cheval sous la selle. 

Quelques années plus tard, alors qu’il travaille en Angleterre comme entraineur international de chevaux de complet, il applique les exercices de dressage appris chez Oliveira, dans un tout petit manège, à des chevaux à grands rayons d’action montés dans des allures rapides. Cela produit des chevaux qui gagnent en dressage, mais sont aussi très rapides sur le cross et surtout qui n’ont jamais de problèmes de conditionnement ou d’accidents de tendons. Le travail classique en symétrie porte ses fruits pour la santé du cheval de sport. À la même époque, il étudie la flexion latérale du dos, car il commence à dessiner des selles (utilisées par beaucoup de cavaliers internationaux tant anglais qu’américains et canadiens), dont les particularités seront copiées par la majorité des selliers européens. Il découvre en effet le haut degré de flexion dorsale qui est la clef du cheval restant d’aplomb dans tous les tournants (donc en équilibre). Bien que les pontes vétérinaires de Newmarket dénient cette possibilité, ses idées seront confirmées 10 ans plus tard par le Dr Giniaux, ostéopathe français de renom. 

• Il faut se poser toutes les questions pour vérifier la vérité (ou l’erreur) des dogmes professés. 

En 84, il part aux USA ou il vit encore. Les nombreux stages qu’il donne à des élèves amateurs qui lui posent beaucoup de questions inattendues, le forcent à tenter d’expliquer ce que tout le monde prend pour assuré. Il se pose quelques questions fondamentales sur les aides, l’assiette et le fonctionnement du cheval. Cette démarche éducative (pour ses élèves comme pour lui même) lui fit reconsidérer beaucoup d’idées reçues et l’encouragea à simplifier le dressage pour le bénéfice des cavaliers comme des chevaux. Il commence à écrire de nombreux articles et à faire évoluer ses propres idées vers la rationalisation des principes conducteurs de notre relation avec le cheval. 

• L’éthologie n’est qu’une partie de la nature du cheval. Sa physiologie (en particulier son système nerveux et son comportement émotionnel), et sa dynamique sont aussi fondamentales que le comportement social.

Ayant lu les livres de Konrad Lorenz des les années 70, JP a toujours été très intéressé par les problèmes du comportement et observe les techniques des élèves de Glen Randall, dresseur de cinéma (Ben Hur, L’Étalon Noir), et Tom Dorrance (dont tous les chuchoteurs se sont inspirés), ainsi que du Dr Robert Miller (le concept de l’imprinting) avec qui il entretient une correspondance. Il réalise que l’École Classique avait beaucoup négligé l’observation du comportement (bien que les maîtres en aient résolu les problèmes empiriquement), alors que la « nouvelle école » des « éthologues » connait très peu la biomécanique des allures, la posture du cheval sous la selle et les bénéfices gymnastiques du dressage traditionnel. Il visite aussi les conventions de maréchaux ferrants et étudie tous les progrès de la ferrure et de la compréhension de la physiologie du pied, ainsi que les travaux des ostéopathes et « travailleurs corporels » dont l’activité se multiplie.

L’Éthologie n’est qu’une partie de la nature du cheval qui détermine l’adaptation aux conditions de vie et les rapports sociaux, mais pour comprendre le cheval dans les conditions de la vie domestique et son apprentissage de l’équitation, il faut y ajouter l’anatomie, la physiologie, la dynamique du mouvement et de l’équilibre, la nature endocrine et son effet sur les émotions, la communication mentale, la théorie de l’apprentissage, etc. Son activité d’éleveur (50 Andalous et Lusitaniens dans sa ferme) lui donne l’opportunité d’observer les comportements innés des jeunes chevaux et toutes les manifestations hormonales entre mâles et femelles de tout âge, une observation confirmée par les travaux de Dr Sue Mc Connel sur la variabilité du niveau de testostérone en accord avec la position sociale des étalons vivant en groupe. Il commence à voir des parallèles entre le comportement des poulains et les résistances des chevaux dits « à problèmes » et comprend que les résistances que nous croyons être basées sur une mauvaise attitude acquise dans un mauvais dressage sont en fait des vestiges de son éthogramme et de ses résistances ataviques aux prédateurs. 

• Relaxation, impulsion et équilibres sont interconnectés et interactifs

Sa première idée fondamentale est que la relaxation du cheval doit être le point de départ du dressage et pas son aboutissement. Il développe donc la technique de l’Endotapping, outil de transformation émotionnelle et biomécanique du cheval. Il découvre ainsi les règles systématiques de « l’École des Aides » (séquence de la réponse aux stimuli non douloureux) qui avaient déjà été évoquées par Baucher, auteur génial qui avait eu l’intuition des théories de l’apprentissage et du « renforcement positif », si populaire aujourd’hui.

JP élabore donc des moyens simples et efficaces de « reconstruire » une locomotion optimale depuis le pas jusqu’au piaffer et au saut, en agissant sur le « logiciel » des muscles et en associant le processus de développement du mouvement produit dans la plus grande relaxation possible. 

D’autre part, sa recherche sur la flexion du dos, l’amène à des conclusions sur les effets de l’assiette, qui facilite la compréhension du cheval aux demandes du cavalier, particulièrement dans les tournants et le travail de 2 pistes.

• L’éducation du cheval doit être conduite sur des règles simples et toujours respectées de la théorie de l’apprentissage. 

Le travail des « behavioristes » (B.F. Skinner, Bob Bailey, etc.) nous a donné les règles pour l’application des récompenses et des corrections qui sont indispensables à tous les dresseurs et servent à les éduquer autant que leurs chevaux. Les règles du « conditionnement opérant » doivent être bien comprises et pratiquées (avec tact et bon sens) afin que le dressage soit le plus rapide, le plus effectif, le plus compréhensible et le plus respectueux du cheval. Grâce à ce système simple, les chevaux se rassurent car ils peuvent accroître le niveau de leur confiance en leurs cavaliers, du fait que ceux-ci les aident toujours à reconnaitre ce qui est souhaité d’eux et ce qui ne l’est pas. 

• La symétrie doit être recherchée, non seulement dans la posture du cheval, mais aussi dans sa dynamique (afin d’harmoniser impulsion et équilibre)

Le focus le plus récent de sa recherche concerne la symétrie du cheval. JP pense que l’asymétrie observée chez tous les chevaux est en fait due à la disposition des organes internes et est inévitable (de même que la majorité des humains sont droitiers, ont le cœur à gauche et le foie à droite et deux hémisphères cérébraux qui ont des fonctions différentes). Cette asymétrie « posturale », bien connue de tous les cavaliers, crée aussi une « asymétrie dynamique » qui fait qu’un des diagonaux sert à « freiner » le cheval (d’où le manque d’impulsion), tandis que l’autre sert plus à sa propulsion (d’où le manque d’équilibre). La logique de cette découverte nous amène à la révélation qu’il est inefficace de donner plus d’impulsion au diagonal qui en a déjà trop (et pas assez d’équilibre) ou à ralentir le diagonal qui manque déjà d’impulsion. Les actions bilatérales du cavalier sont donc partiellement inefficaces et peuvent renforcer le problème d’un des côtés quand on croit résoudre la difficulté de l’autre. Cette rationalisation des actions du cavalier au cours du dressage (que ce soit pour faire monter un cheval dans un camion, perfectionner le Grand Prix ou résoudre des problèmes étiquetés « de comportement ») simplifie l’éducation du cheval en traitant les problèmes psychologiques par une approche qui s'adresse à leurs effets comportementaux autant que leurs causes physiques.

• Doit-on pratiquer une équitation de « l’arrière vers l’avant » ou de « l’avant vers l’avant » ?

Bien que le consensus ait toujours été que nous devons pousser les chevaux de l’arrière vers l’avant avec les jambes (et de les retenir de l’avant vers l’arrière avec la main), JP a observé l’importance des antérieurs dans la locomotion (et contre l’impulsion) et le fait que lorsqu’on « tire » le cheval vers l’avant à la longe, on obtient une bien meilleure impulsion, un meilleur équilibre et même un meilleur rassembler que lorsqu’on le pousse avec la chambrière. Cette découverte l’a amené à reconsidérer la façon dont les chevaux sont longés et de là, la façon dont on les aide a développer le désir d’aller de l’avant. Quand ils sont tirés vers l’avant par la main, les chevaux avancent vers le dresseur (une direction qui gouverne la confiance du cheval, même si elle n’est pas immédiate), tandis que quand on les pousse, (une action qui confirme leur instinct de fuite, si ils avancent ou de résistance si ils ne veulent pas avancer), la relation est plus prédatrice. Une question importante qui a d’importantes conséquences pour le dressage en général.

• L’équitation, pour être efficace et procurer du plaisir aux 2 participants, doit intégrer tous les aspects de l’éducation du cheval et du cavalier (dynamiques, émotionnels et mentaux). 

Pour obtenir un résultat qui sert le bien-être du cheval comme les désirs du cavalier (de la simple promenade jusqu’aux sports olympiques), il faut intégrer tous ces aspects de la nature du cheval dans une pratique de l’équitation qui sera vraiment « naturelle » autant qu’elle sera « classique ». JP Giacomini s’inscrit dans la continuation des principes éprouvés par la tradition, tout en apportant des solutions innovantes aux problèmes équestres de tous les jours. 


Les contenus du stage

Toutes ces notions qui paraissent complexes au premier abord ont en fait des applications simples (en main, à la longe et sous la selle) qui seront démontrées durant le stage par JP Giacomini et enseignées aux participants, au fur et à mesure que leur besoin se fait sentir. Tout cela dans le but d’aider les cavaliers d’une façon pratique et immédiate avec les problèmes qu’ils rencontrent dans le travail de leurs chevaux:

- Relaxation dans des situations stressantes définies, 

- Amélioration de la locomotion à toutes les allures (surtout la régularité et l’amplitude du pas, la cadence du trot, mais aussi le déblocage du dos au galop), 

- Symétrie de la position et de la dynamique (régulariser impulsion et équilibre),

- Amélioration de l’amplitude, activité et symétrie du piaffer/passage pour les chevaux qui sont à ce stade.

De nombreuses explications seront données aux auditeurs en fonction du temps disponible entre chaque leçon.

 

 

Marit
Déconnecté
Inscrit: 23/12/2008

 J'y serais en auditeur avec ma ou mes deux cavalières, et peut être pour elles montées (à confirmer).

JP-> "communication mentale" ? qu'entendez vous par là ?

 

OLRY Juliette
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

 triple zut je donne un stage dans le jura le même week end ! 
jean phi tu me raconteras sans faute hein ?! 

Jean-Philippe
Déconnecté
Inscrit: 26/09/2008

Ne t'inquiète pas, Juliette, j'ai prévu de faire un documentaire vidéo que je ferai payer très cher !  ;°D

Ne peux-tu pas décaller ton stage ?

 

Modérateur 1
Déconnecté
Inscrit: 15/02/2013

Afin de préserver l'objectif de ce sujet ( organisation d'un stage) et de donner toute sa visibilité au sujet de la communication mentale avec le cheval, les messages précédents sont déplacés là:

http://www.allege-ideal.com/content/communication-mentale-avec-le-cheval

Christopher Cunningham
Déconnecté
Inscrit: 24/06/2007

J irai a Autouillet au moins une journee mais j espere deux. Donc a bientot.

OLRY Juliette
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

 ben non je ne peux pas , ça dépend aussi des dates de concours , ,des dates de mon autre boulot et des dates de mes autres stages ( ceux que je donne , parce que faut bien que je gagne ma croute)  et la je ne compte même pas les dates pour la famille .

J'attends donc le compte rendu. 

Bises 

MAUREL Bernard
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006

Pour soutenir la venue en France de JP qui a beaucoup animé le forum A I ces derniers temps, nous avons le plaisir d'informer les membres de l' association ALLEGE IDEAL désirant assister au stage en spectateurs qu'ils bénéficieront d'une ristourne sur le prix demandé à raison de 25 € pour une journée et de 40 € pour les deux jours . Merci à Jean-Philippe Leon organisateur pour cet avantage accordé à nos membres .

Jean-Philippe
Déconnecté
Inscrit: 26/09/2008

 C'est avec plaisir, Bernard, vous le savez bien ! ;°)  

 

BLESCHET Josette
Déconnecté
Inscrit: 17/03/2006
Et c'est avec plaisir que j'ai accueilli les deux Jean-Philippe pour tester en avant-première la technique de l’Endotapping !
Paganini me semblait le bon sujet car je suis toujours à la recherche de sa locomotion d’origine.
En jouant sur la prise de conscience d’une répartition du poids sur les pieds par des exercices au boxe, j’ai vu se dénouer de vieux blocages que je n’arrivais pas à défaire de sa mémoire. Puis, un travail à la longe a permis une amélioration du fonctionnement des épaules qui lui a fait gagner de l’amplitude au pas.
La prochaine étape sera le stage ce WE. A suivre !
Daniel
Déconnecté
Inscrit: 22/09/2008

Bonjour

serait-il possible de nous parlez un peu plus des exo qu'il a fait faire dans le box et le travail à la longe ...?

Merci d'avance
Daniel