Bonjour Renard

Pour ce qui est de l'emploi du Balancier Global dans le cadre du travail avec les jeunes chevaux,

bien au contraire que de le "proscrire",
je le préconise pour ma part,
et son emploi s'avère particulièrement avantageux ...,
notamment du fait de la réduction des contraintes de pression exerçées dans l'accompagnement des allures
en équilibre assis sur le dos de ces jeunes chevaux,

si l'on emploie cette option de fonctionnement d'accompagnement des allures
plutôt qu'une des deux autres...

(moins de résistances éventuelles succitées, en réaction, du fait de ces contraintes de pression imposées ... )

( Sans parler des avantages pour les diriger aisément sur des voltes sans actions de mains ... )

Pour ce qui est du trot enleve,
on ne peut proprement parler de "fonctionnement d'accompagnement en Balancier Global",
du fait que c'est une otion d'accompagnement des allures en équilibre assis.

Par contre, au trot enlevé, il s'avère utile de maintenir "une tension de soutien du dos"
nécessaire et suffisante pour assurer des transitions réussies en Balancier Global en équilibre assis,
par exemple transitions au trot assis ou au galop assis à partir du trot enlevé ...

Cordialement

Peter

Il y a donc un certain nombre de cavaliers qui se fourvoient... Au moins pouvons-nous les voir se fourvoyer et, si l'on vous en croit, nous fourvoyer nous aussi en leut trouvant certaines qualités de liant... C'est possible.

En équitation peut-être bien plus qu'ailleurs, il me semble que pour préconiser il faut avoir senti, pour avoir senti il faut avoir pratiqué avec une certaine réussite.

Encore une fois, que ne nous montrez-vous votre pratique, celle qui vous permet d'être ausi affirmatif, aussi sûr de vous ?
Il ne manque pas de jeunes chevaux sur lesquels illustrer votre discours et le rendre définitivement convaincant.

C'est une chose que j'ai du mal à comprendre, que l'on expose avec autant de conviction et de certitude une théorie que l'on a soi-même bâtie et qu'on ne puisse ou ne veuille l'illustrer par sa propre pratique, celle qui a nécessairement permis de confirmer et d'affiner cette théorie. Il y a là une démarche curieuse que je ne m'explique pas et dont vous n'êtes d'ailleurs pas le seul détenteur. Vous pourrez bien me rétorquer ce que vous voudrez, vous ne m'ôterez pas de l'idée que vous vous coupez ainsi du plus grand nombre, ce qui est quand même malheureux pour quelqu'un qui prétend agir au nom du développement d'une équitation de légèreté. La preuve par l'exemple, cela reste encore le meilleur moyen de toucher du monde.

Pour rappel, je suis moi-même très intéressé par cette notion de balancier global, c'est le systématisme dont vous faites étal qui m'interpelle. D'où mon besoin de voir. D'ailleurs, vous-même, vous n'hésitez pas à demander à voir la pratique des autres, ceux qui ne pensent pas comme vous, afin de prouver que vous avez raison. Dès lors...

Autre chose... Vous semblez suggérer que ceux qui ne se plient pas à votre vision de l'assiette (dont vous parlez peu) et de la position (dont vous parlez beaucoup) s'appuient nécessairement sur leurs étriers au galop assis. Or, il me semble me souvenir que dans l'équitation classique allemande, depuis Steinbrecht, on accorde une très grande importance au travail sans étrier. Comment expliquer que ce travail qui donne des assiettes parfois remarquables puisse aussi amener à s'appuyer sur les étriers ? Est-ce le résultat du type de travail, du choix de la progression, de l'utilisation d'une assiette adaptée à l'avancement du travail... ou tout simplement le résultat des qualités intrinsèques du cavalier et de la volonté dont il aura fait preuve durant sa formation (et même par la suite) ?

Finalement, quel que soit le bout par lequel on aborde ces questions, au risque de me répéter, rien ne vaut la preuve par l'exemple. Montrez-nous donc comment vous montez de jeunes chevaux en balancier global à toutes les allures et la discussion sera close. Ce n'est pas plus compliqué que ça. Le reste n'est que littérature.

Bien à vous,

 J'ai fait du balancier global et c'est un super exercice de musculation. On ne se muscle pour l'équitation qu'à cheval, qui en effet travaille les muscles mis en action autre part qu'à cheval ?

Et il est certain que plus on est à cheval et plus on a des chances d'être un bon cavalier. 

Mais dans le laps de temps c'est le cheval qui trinque.

Donc l'alternative du simulateur est extra, et permet si besoin est d'avoir un enseignant à ses cotés et à sa hauteur.

Bienvenue dans le monde enchanté de Peteris.

Ce monde ne connaît que deux lois.

Loi numéro 1 : si vous ne fonctionnez pas en "balancier global" vous ne savez pas monter à cheval.

Loi numéro 2 : la loi numéro 1 ne s'applique pas à Peteris (qui ne monte pas à cheval).

 Hervé

Si vous ne fonctionnez pas déjà "naturellement" en Balancier Global,
c'est pas que vous savez pas "monter à cheval" ...
(voir l'Ecuyer en Chef du Cadre Noir ... )
mais vous passez à coté de certaines choses qui seraient à votre portée "en Balancier Global" ...

PS

Si pour votre part, vous préférez "fonctionner" en Balancier Lombaire ou Dorso-Lombaire,
malgré les "inconvénients" qui en découlent ...,
pour vos performances personnelles et le confort de vos montures ... ,
libre à vous ...

Message modéré

Etant plutôt un cavalier d'exterieur je pratique une assiette "en avant", qui est trés confortable pour les chevaux. 

Rappel de la Charte du Forum :

http://www.allege-ideal.com/charte_forum

«3. Aucune attaque personnelle ne sera tolérée. »

Je ne vois pas comment quelqu'un qui ne monte pas à cheval peut dire à un cavalier ce qui est à sa "portée" et ce qui ne l'est pas. 

 Si vous voyez-pas, c'est pourtant simple :
par expérience, à cheval et en tant que Préparateur Physique Equestre depuis 20 ans ...