De la main

  En equitation on recommande de commencer par une étude hippo - osteologique , puis theorique , avant de faire une étude de la mise en pratique de tout ceci .. Si vous commencez par la mise en pratique , vous pouvez avoir un certain nombre de désagréments , dont le cheval qui embarque , mais aussi le fait avoir sur l'equitation des vues assez courtes ...

Comme mon nom l'indique également, je maitrise très peu la langue de Voltaire. Merci d'éclairer le camarade Piotr et moi-même.

Je lance une boutade: L'appui à pleine main, c'est quand l'auriculaire participe au sentiment de la main. Ce cinquième doigt permet, entre autre de se curer les oreilles.

Le petit doigt, c'est comme sur un compteur d'eau, il sert à compter après la virgule.

Réorientons ce débat ridicule. Après l'appui, le beau temps!

Je ne vois pas en quoi l'absence de clavicule rendrait "l'appui à pleine main" moins douloureux pour le cheval ? A moind de lui bétonner la bouche ?

" (L'appui) augmente d'intensité avec le développement de la chasse de l'arrière main et la vitesse qui en résulte." Pierre Giorgi le 29/06.

Non , non ce n est pas moi, c est dans Equitation academique page 45,  Hazan 1972, reédition  1979

pour ce qui concerne la seconde phrase...elle va de soi quand on relit Decarpentry sans occulter la premiere phrase, et qu' on se reporte à tout le chapitre sur les allures qui doivent avoir été developpées avant de penser à les rassembler.

Et soyez bien certain Monsieur Farnault que si je voulais faire de ce forum une vitrine "professionnelle", et en tirer un quelconque avantage,  comme l' aurait  si aimablement suggéré Monsieur Voche, je m' y prendrais bien autrement, je ferais des videos sur des iberiques qui trepignent, les hanches balladeuses, les renes en guirlandes , avec un commentaire sirupeux et une musique doucereuse, et crierait haut et fort que je suis un grand defenseur de la legereté, descendant direct du baucherisme le plus pur,  et que pas un cavalier de dressage de haut niveau n' a rien compris a l'equitation...ça serait autrement plus efficace et rentable, que d' oser bousculer ce forum en rappelant quelques petits points importants, ceux qui font la difference entre la difficile recherche de la legereté,  et la facilité d' une pale imitation. 

Non Pierre ce n'est pas vous que je visais, ni d'ailleurs Juliette ( que j'apprécie trop pour me permettre de la critiquer ).
Quant ce que vous venez de dire, c'est tout à votre honneur et je le reconnais trés sincérement.
Autre chose : à la lecture de vos interventions, je comprends que vous etes, vous aussi, un chercheur, ce qui aussi est tout à votre honneur.
La seule chose, c'est qu'à mon sens vous vous trompez ( mais moi aussi peut etre ) et la route équestre sur laquelle vous cheminez ( engagement profond du postérieur à l'appui sous la masse, contact ferme, trot hardi, obsession de la ligne du dessus tendu sans s'occuper de la ligne du dessous et notamment des abdominaux etc...) ne me semble pas etre la bonne. C'EST TOUT.

Vous savez Jacques, je suis assez vieux maintenant pour avoir compris qu' il faut rechercher a la fois ce que j' enonce tres souvent sur ce forum et aussi m' occuper de la ligne du dessous :) l' un n' exclue pas l' autre , le bon dosage de l' un et de l' autre fait, je crois,  les bons resultats.

En equitation on recommande de commencer par une étude hippo - osteologique , puis theorique , avant de faire une étude de la mise en pratique de tout ceci

on imagine la tête du nouveau venu devant la pile de bouquins bien rébarbatifs à étudier

Je n'avais pas fait attention que la citation venait de Decarpentry. C'est vrai qu'il vaut mieux mettre entre guillemets tout ce qui appartient à autrui...

Jacques Voche,

Un peu de hauteur de vue, s'il vous plait. Il est urgent que vous oubliiez vos lectures pour n'en retenir que l'esprit, ceci demande de l'intelligence, que dis-je, de la "connaissance" liée à la "sensation".  Il faut parfois vingt ans pour comprendre une bribe de phrase d'un maître. Cela s'appelle la vraie culture équestre, laquelle garnira utilement vos fontes.

Je vous invite à redescendre dans le fond de vos bottes.

Croyez bien que mon propos demeure empreint d'une extrême bienveillance.

Et pour tout vous dire, l'appui au sens sens "cheval qui pousse sur son mors" est, n'en déplaise à certains, une phase transitoire parfois indispensable à qui monte toutes sortes de chevaux.

Amicalement,

CC

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