Tout de suite après avoir dégusté ce nouveau cadeau de Laurent Desprez, je me suis amusé à passager les yeux fermés dans mon garage en essayant d'atteindre un objet posé au sol à l'autre bout. Pas évident de ne pas dévier d'un poil. Très révélateur.

Et moi je vais devoir le revoir ... visionné sur ma pause de midi ( journée finie tard hier et commencée tôt ce matin ) car malgré la richesse du propos après environ 20 minutes je me suis endormie ! je dois dire que de ce que j'ai vu jusque là le coté ostéo m'a plus interessée et paru pertinent que le coté Bauhérisme dans ses démos .

MERCI Catherine pour ce document.

Vraiment, je n’ai pas beaucoup de temps, je n’ai pas de temps du tout et cette bande est très longue ! Voici mon impression.

J’ai assisté à une juxtaposition de méthodes : l’ostéopathie, la rectitude, l’équilibre et l’équitation. Mais je n’ai pas trouvé beaucoup de termes communs entre toutes ces démonstrations (fort intéressantes cependant). Une "bonne médication" aurait les mêmes effets et certains ici savent de quoi je parle. La relaxation musculaire est une impérieuse condition.

Toutes ces exécutions assemblées ne font pas du bauchérisme mais un assemblage de moyens sans relation les uns avec les autres. jamais, il n'a été démontré que le travail de baucher libérait les spasmes musculaires intervertébraux (Baucher, Giniaux et Racinet ont du bondir !)
L’asymétrie est naturelle, les humains corrigent ou compensent car ils sont libres (et que le bipède est toujours en rupture d’équilibre, source de son mouvement), les chevaux montés et présentés ne sont pas libres (et tirent leur mouvement de la propulsion), le poids et des imperfections du cavalier, des rênes tendues pour "contre corriger" un cheval déséquilibré par le cavalier.
L’ostéopathie est-elle la solution au mépris de la prise d’équilibre qu’un cheval en bonne santé doit d’abord exercer : basculement du bassin, verticalisation du chanfrein (détente des rênes si la main est fixe), remontée du garrot, flexion de mâchoire pour enfin, dégager une épaule puis pousser en avant par le postérieur.

Cette démonstration en aurait mérité une autre : Celle du bauchérisme (qui fait rire, sur cette bande, un certain non-cavalier) qui permet au cheval d’évoluer en équilibre. (équi-libre)

Rapidement et cordialement
BLB

Je rebondis après les propos, toujours pleins de bon sens, de Mr de la Bonnellière. En regardant cette longue et intéressante video je pensais à Elie Wiesel ( que Mr Farnault veuille bien confirmer) qui écrivait: " les peuples qui ne connaissent pas leur histoire sont amenés à la revivre".
Je voyais nos jeunes chercheurs, cavaliers et ostéopathes, redécouvrir la mise en main chère au général Decarpentry. Elle lui venait d'ailleurs du bauchérisme. Mais je trouvais amusant qu'on la cherchât avec du miel alors que c'était plus simple avec le mors. Le chapitre III "d'Equitation Académique" lui est consacré. Mais qui s'en souvient? Par contre il ne faut pas oublier de desserrer la muserolle, ce que semblait oublier mon jeune camarade écuyer, et de garder la nuque en place, ce qui n'est pas à la mode, je le reconnais.

 Bonsoir, c'est aimable... Alors je fais la recherche sur Internet pour jouer et je trouve :

« Ceux qui ne connaissent pas leur histoire s'exposent à ce qu'elle recommence...  » de Elie Wiesel...

Mais aussi de même inspiration :
" Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre. " Winston Churchill

je reviens juste de l'étranger, donc n'ai pas encore vu cette émission ; peut-être la regarderai-je directement sur EQUIDIA ; mais je dois dire que les commentaires de Bruno de la Bonnelière et de Christian Carde sont un régal à lire ! A suivre donc ...

Voici une transition en "équi-libre"
Les photos sont trop "lourdes", je les publie en deux temps.
Bonnes observations
Je n'ai pas réussi à faire plus grand !
BLB

je publierai les photos une à une .

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