je me redresse, je ferme mes doigts.
je ne sais pas pour le cercle, mais j'essaierai tout à l'heure oui, merci pour la piste ;)

Bonjour,

Parmi les «autres pistes», en voici une qui me semble importante: confirmer l'impulsion, voire la renforcer, avant la demande proprement dite; l'impulsion étant la volonté du cheval de déployer de l'énergie, et pas, évidemment, la vitesse!

Faire précéder toute action de main d'une action des jambes (citation approximative de Baucher).

Amitiés,
Jean M

Bonsoir,

J’aime bien cette piste « expirer au moment de la transition. » (Hervé). (Ainsi soit-il !) qui prendrait le sens d’une « transition » chez l’homme informant le cheval, et de plus le faisant certainement descendre dans sa selle à l’instant choisi. J’essaierai.

Laetitia, quel âge a votre cheval ?

Vous dîtes « je me redresse », éventuellement cela pourrait provoquer une compensation (réaction) de la part du cheval qui se trouve ainsi « précipité » en avant.

Chez un jeune cheval ce geste du cavalier peut entraîner une opposition instinctive de sa part vers l’avant ; tout comme pencher son buste vers l’avant provoquer un ralentissement en opposition.

Je crois que vous apporterez une correction au problème passager que vous rencontrez en demandant les transitions en descendant simplement dans votre selle.

Reprenez les transitions de base. Arrêt/pas/arrêt… et arrêt/reculer/arrêt/reculer (sans interruption entre). Puis pas/trot/pas,

J’aime bien apprendre au cheval à se ralentir sur une pression des cuisses.

Sentez son rein fonctionner. Encouragez-le ainsi à reprendre conscience de la maîtrise de son équilibre, soyez discrète sur son dos pendant ce temps.

Ce ne sont que des pistes également.

Amicalement.

J’oubliais : surtout laissez faire votre cheval.

Qu’il se ralentisse de lui-même ; qu’il s’arrête de lui-même.

FARNAULT Philippe écrit:

Bonsoir,

J’aime bien apprendre au cheval à se ralentir sur une pression des cuisses.

Ce ne sont que des pistes également.

Amicalement.

Précédé par un recul des épaules qui se fixent, une avancée du nombril vers le haut , le fait de "serrer" légèrement les cuisses, en veillant à ne pas utiliser les mollets et après s'être assuré que le cheval était "en avant", est un très bon indicateur pour une transition descendante, indicateur que les chevaux intègrent rapidement et facilement.
La fermeture des doigts devient alors rapidement un "accessoire".

merci pour vos réponses.
c'était mieux ce soir, mais encore à travailler, et aussi bien les transitions montantes que descendantes d'ailleurs.
expirer est un bon moyen je trouve, j'ai testé ce soir, c'est efficace.
et en effet j'ai en général à peine besoin de serrer les doigts, il comprend à travers mon assiette, mais reste à garder la bonne attitude, pas facile.
à surveiller aussi (constat de ce soir) j'ai tendance à très légèrement bouger mes mains, notamment la main extérieure sur laquelle il cherche à se fixer, donc forcément ça n'aide pas !

Jean M. B. écrit:

Bonjour,

Parmi les «autres pistes», en voici une qui me semble importante: confirmer l'impulsion, voire la renforcer, avant la demande proprement dite; l'impulsion étant la volonté du cheval de déployer de l'énergie, et pas, évidemment, la vitesse!

Faire précéder toute action de main d'une action des jambes (citation approximative de Baucher).

Amitiés,
Jean M

Je viens de passer quelques jour chez les Henriquet en tant que spectateur. Et Catherine a dit qu'avant de faire une transition descendante (en parlant de la transition depuis le trot allongé), elle faisait "vibrer" ses jambes pour que le cheval conserve son équilibre en engageant l'arrière main et éviter de tomber sur les épaules. J'espère ne pas trahir sa pensée.