découverte

Une découverte en effet.

"Bertrand Ravoux, instructeur de l'école de légèreté" installe sur son site une vidéo présentée par une journaliste complaisante qui précise : "Bertrand Ravoux est le seul a enseigner la légèreté en France".

Je ne savais pas qu'il existait une telle école en France tenue par l'instructeur "légèreté".

Poussez-vous, y-a plus rien à voire !

Question pour un ignare :
A qui appartient la légèreté ?

Message édité par: dorange, à: 2009/06/04 21:24

Bruno vous êtes dur!
Ce garçon a l'air très sympathique.

Ce qui m'a frappé sur son site :

NB: Le concept de « L´ÉCOLE DE LÉGÈRETÉ », dûment exposé dans l´ouvrage « Dogmes et dérives du dressage moderne »

(Philippe KARL, Éditions CADMOS) a fait l´objet d´un dépôt légal de brevet.

J'aimerais bien connaître les références du brevet!

Si quelqu'un se sent de déposer un brevet pour la volte (pardon, le concept de VOLTE), c'est le moment.

Et si on signe la pétition de Philippe Karl, il nous attaque pour violation de ses brevets?

Amitiés amusées,
Jean M

Qu'avez vous fait messieurs pour faire ainsi fuir Marie ?

Un peu de légèreté dans vos piques ! Un peu de courtoisie...

Nan mais !

Curieuse aussi de savoir ce qui s'est passé

Marie a effacé tous ses messages sur divers sujets, c'est bizarre

@ J.M.B.

on peut comprendre aussi que l'objet du brevet est la démarche pédagogique mise au point par P. Karl

si tel est le cas ce ne serait pas la notion de légèreté qui serait brevetée, elle n'est pas brevetable, mais "l'organigramme de travail" ;

et peut-être aussi le nom (l'enseigne ?) ECOLE DE LEGERETE a fait l'objet d'un dépôt, afin que personne ne puisse l'utiliser sans l'aval de M. Karl

ce serait une forme de franchise,du commerce bien compris et ça n'aurait rien de honteux

Il y a quelque chose que je n'ai pas compris.
Je partage votre curiosité à propos du départ de Marie.

Serait-ce de ma faute ?

Je n'en sais rien du tout, ses messages ont été effacés
et il n'y a rien dans vos réponses qui puisse justifier une fuite

On comprendra peut-être mieux demain

Bonne soirée

Bonjour à toutes et tous,

Désolé si j'ai été discourtois. Et surtout Marie, même si je vous ai fâchée (ou si j'y ai contribué), ne nous quittez pas! Reconnaissez que tous ici nous écrivons avec honnêteté et conviction, tout comme vous.

France, vous avez raison, il s'agit d'une méthode commerciale; c'est entièrement légitime. Je ne peux pourtant pas m'empêcher d'imaginer ce qu'aurait été ma propre éducation équestre - qui comportait aussi l'apprentissage de la légèreté (TM) - si NO avait eu cette sublime invention de breveter ses idées et de les échanger contre espèces sonnantes et trébuchantes ... (il vendait bien sûr des leçons, du travail des chevaux, mais diffusait ses idées sans restrictions). Dans cette hypothèse je n'aurais simplement pas pu m'offrir cet enseignement.

Nous vivons une époque moderne.

Amitiés
Jean M

On avait déjà évoqué cette histoire de brevet (hé oui !) :
www.allege-ideal.com/index.php?option=com_joomlaboard&Itemid=37&func=view&id=8880&catid=7
Dans l'Union Européenne, on ne peut pas déposer de brevet sur des idées. Les logiciels par exemple sont protégés par le droit d'auteur mais ne sont pas brevetables. Ca a été un gros débat au moment où Mr Bolkenstein a essayé de faire passer une directive au Parlement Européen pour permettre de breveter tout et n'importe quoi comme aux Etats-Unis. De nombreux acteurs dans l'informatique (et dans le libre en particulier) se sont mobilisés car c'était la mort assurée de nombreuses entreprises s'il avait fallu payer des droits à chaque fois qu'on créait un logiciel utilisant des fenêtres, un clic souris, un hyperlien etc.

Nicole,

C'est tout à fait exact: c'est pourquoi je demandais des précisions techniques sur ce brevet (s'il existe...).

Cependant la question de la brevetabilité des idées est à distinguer de celle de la directive Bolkestein: dans cette dernière c'est le droit social à appliquer aux entreprises et aux travailleurs d'origine non-nationale mais de l'Union Européenne (type plombier polonais en France) qui est en cause.

Comme vous le rappelez - et c'est bien l'actualité! - c'est le Parlement Européen qui le 6 juillet 2005 s'est opposé à la brevetabilité des idées, victoire contre la Commission Européenne et le Conseil réunis (et les lobbies bien sûr). Un grand moment!

Amitiés,
Jean M