travail d'un trois ans
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Bonjour,
Je suis nouvelle sur ce forum et n'ai certainement pas le niveau de la plupart d'entre vous, sans me sous-estimer.
Je lis depuis quelques temps vos dicussions compliquées mais tellement intéressantes.
Donc voilà une question simple: Quel travail monté pour un 3ans? Combien de temps, quelle fréquence?
Mon petit cheval est éduqué, débourré. Je ne voudrais pas l'user mentalement et physiquement.
Par avance merci pour vos réponses.
Bien cordialement,
Aviglorent
C'est un haflinger né en mai 2005 (père:Iffic Ar Steir, mère Marina, élevage de la cos)
C'est un cheval qui aime bien faire et qui apprend vite je trouve. Il a un très bon mental, c'est un téméraire, un curieux, il est calme, bref un cheval en qui j'ai toute confiance.
Il est typé plutôt léger, avec de bons aplombs quoiqu'il billarde. De bons jarrets, un bon dos, une belle ligne.
Je l'ai eu à ses 1an1/2.
J'ai fait tout un travail d'éducation à pied avec l'aide d'une éducatrice équin quelques temps (méthode La Cense, Pat PARELLI): le respect, séances "anti peur" sur la confiance, les exercices de cessions aux pressions tête, épaules, hanches, la désensibilisation. C'est un cheval très à l'écoute, sensible à la voix.
Travail à la longe en très courtes séances sur des grands cercles au pas et au trot. L'arrêt, l'immmobilité.
Balade en main en extérieur.
Quant à moi, j'ai éduqué 4 doubles poneys (2 haflingers, une sans papier, deux new forest).
Je souhaite qu'il soit léger, avec de l'impulsion, en sachant que c'est un cheval sang froid. MAis je suis sûre qu'avec un bon travail on peut tendre vers cette légèreté.
J'oubliais, le travail monté: pas, trot, arrêt. Quelques transitions d'allures légères et en ligne droite. Je le monte maximum 1fois par semaine pendant 20 à 30 minutes.
J'espère être assez claire et je vous remercie de votre attention.
Cordialement,
Aviglorent
Comme le précise Bruno, 3 ans c'est jeune; quelle que soit la précocité que l'on puisse reconnaître à certaines races, les chevaux ne sont adultes qu'entre 5 et 6ans; avant leur ossification n'est pas terminée et tout travail musculaire important(au regard de l'âge)risque fortement de compromettre l'intégrité des attaches musculaires et la qualité des articulations.
Et les haflingers n'échappent pas à la règle.
S'il est monté une fois par semaine, il faut veiller à ce qu'il ait un long échauffement; et votre travail doit juste un travail d'habituation au poids du cavalier.
Mais le mieux serait de continuer son éducation à pied pour qu'il vous respecte, qu'il accepte d'être promené au licol,d'être manipulé et de monter sans difficulté dans un camion. Pour le reste , attendez qu'il soit adulte, puis commencer par le travailler à la longe, qu'il se fasse un dos pour supporter son cavalier avant que de n'entamer son éducation
Savoir aller lentement au début est le gage de progression "rapide" par la suite.
Amicalement, yves KATZ
KATZ Yves écrit:
Comme le précise Bruno, 3 ans c'est jeune; quelle que soit la précocité que l'on puisse reconnaître à certaines races, les chevaux ne sont adultes qu'entre 5 et 6ans; avant leur ossification n'est pas terminée et tout travail musculaire important(au regard de l'âge)risque fortement de compromettre l'intégrité des attaches musculaires et la qualité des articulations.
Et les haflingers n'échappent pas à la règle.
S'il est monté une fois par semaine, il faut veiller à ce qu'il ait un long échauffement; et votre travail doit juste un travail d'habituation au poids du cavalier.
Mais le mieux serait de continuer son éducation à pied pour qu'il vous respecte, qu'il accepte d'être promené au licol,d'être manipulé et de monter sans difficulté dans un camion. Pour le reste , attendez qu'il soit adulte, puis commencer par le travailler à la longe, qu'il se fasse un dos pour supporter son cavalier avant que de n'entamer son éducation
Savoir aller lentement au début est le gage de progression "rapide" par la suite.Amicalement, yves KATZ
Merci pour cette réponse.
J'ai lu récemment un article du Dr Deb BENNET sur la croissance et le débourrage:
"Tous les Chevaux, de toutes les races, se développent à la même vitesse du point de vue du squelette
J’aimerais débattre du concept de la maturité du squelette. Si un cheval de 2 ans et demi n’a pas atteint la maturité, ce n’est pas parce qu’il appartient à une race tardive ou un individu qui se développe lentement. Cela n’existe pas d’un point de vue du squelette : Aucun cheval sur la terre, de n’importe quelle race, à n’importe quelle époque n’a jamais atteint sa maturité avant l’âge de six ans (plus ou moins 6 mois). Donc, par exemple, le Quarter Horse n’est pas une race précoce, pas plus que l’arabe n’est une race tardive. Leurs squelettes se développent de la même manière. Cette information peut paraître choquante pour beaucoup de gens qui pensent que débourrer leur cheval sous la selle à deux ans est ce qu’ils doivent faire à cause de sa race ou de son apparente maturité. Cela demande également une clarification quant à ce que j’appelle maturité.
Quand est-ce que le squelette du cheval atteint sa maturité?
A peu près tout le monde a entendu parler du cartilage de croissance, et généralement quand je leur demande, beaucoup me répondent que les cartilages de croissance se situent quelque part dans le genou du cheval (en fait ceux que ces gens connaissent sont situés en dessous du radius-ulna juste au dessus du genou). Ce que les gens ne réalisent pas c’est qu’il y a des cartilages de croissance de chaque côté de chaque os derrière le crâne et dans le cas de certains os, (comme le bassin qui a beaucoup ‘d’angles’) il y a de multiples cartilages de croissance.
Agenda de la conversion des cartilages de croissance en os (ossification)
Le processus de conversion des cartilages de croissance en os se fait de bas en haut de l’animal. En d’autres mots, plus on descend vers les sabots, plus tôt la fusion des cartilages aura lieu et plus on se rapproche du dos de l’animal, plus cette fusion se fait tard. Le premier cartilage à s’ossifier, à la naissance, est la troisième phalange (os du pied). Dans l’ordre croissant viennent ensuite :
• Deuxième phalange – haut et bas – entre la naissance et 6 mois.
• Première phalange – haut et bas – entre 6 mois et 1 ans.
• Canon – haut et bas – entre 8 mois et 1.5 ans.
• Petits os du “genou” –entre 1.5 an et 2.5 ans.
• Bas du radius-ulna –entre 2 ans et 2.5 ans.
• Portion “porteuse” du glenoïde en haut du radius entre 2.5 ans et 3 ans.
• Humérus – haut et bas – entre 3ans et 3.5 ans.
• Omoplate – portion porteuse (bas) – entre 3.5 ans et 4 ans
• Postérieurs – bas identique aux antérieurs ci-dessus.
• Jarret – cette articulation est « tardive » vu sa place assez « basse ». Les cartilages de croissance entre le tibia et le tarse ne fusionnent (s’ossifient) pas avant que le cheval n’ait quatre ans (raison pour laquelle les jarrets sont connus comme étant un « point faible » et est même documenté dans la littérature du 18ème siècle)
• Tibia – haut et bas, entre 3 ans et 3.5 ans
• Fémur – haut et bas, entre 3 ans et 3.5 ans
• Encolure – entre 2.5 ans et 3 ans
• Bassin – les cartilages de croissance des pointes de la hanche, dessus de la croupe et pointe de la fesse (tuber ischii) – entre 3 et 4 ans
Et quelle partie du squelette est la dernière à s’ossifier pensez-vous ? La colonne vertébrale bien sur. Un cheval a normalement 32 vertèbres entre l’arrière de son crâne et la naissance de la queue, et il y a plusieurs cartilages de croissance sur chacune d’entre elles. Les vertèbres ne terminent pas leur ossification avant que le cheval ait atteint au moins 5 ans et demi (et ceci concerne un petit cheval massif, plus le cou du cheval est long, plus tard les fusions se produiront… et pour un mâle, vous ajoutez systématiquement six mois. Donc pour un cheval d’1m70 de type demi-sang, cette maturité peut n'être complète qu’à 8 ans.)
Les dernières vertèbres à fusionner complètement sont celles à la base de l’encolure (raison pour laquelle les chevaux ayant un cou plus long peuvent atteindre leur maturité après 6 ans – c’est la base qui grandit encore). Donc vous devez être prudents – très prudents – de ne jamais forcer l’encolure d’une jeune cheval (par exemple lui apprendre l’attache en le laissant se débattre).
Est-ce que cela veut dire que vous devez attendre que tous ces cartilages de croissance se soient ossifiés avant de monter votre jeune cheval ? Non, mais plus vous attendez, le moins de risques vous prenez. Les propriétaires et professionnels doivent réaliser qu’il existe un « agenda » d’ossification défini et facile à retenir. – et ensuite prendre leur décision quand monter leur cheval sur base de cette connaissance plutôt que sur base de l’apparence extérieure du cheval. Parce qu’il y a des races, le Quarter Horse entres autres, qui ont été conçus de telle manière qu’ils paraissent ‘matures’ bien avant qu’ils ne soient en réalité. Cela défavorise ces chevaux soit par l’ignorance du processus d’ossification ou parce que les gens préfèrent suivre leur propre agenda (en vue de la compétition par exemple) que de s’inquiéter du bien-être du cheval.
Si vous faites partie des personnes pour qui débourrer veut dire monter, alors vous êtes mieux de ne pas débourrer votre cheval avant quatre ans. Selon la méthode traditionnelle, cela donnerait ceci : introduisez toutes sortes d’équipements et de situations quand il a deux ans, montez et descendez de son dos quand il en a trois et commencez à vous mettre en selle et à lui apprendre la direction à quatre ans, apprenez-lui son job quel qu’il soit à 5 ans pour qu’il soit ‘mis’ à six ans."
Désolée pour la longueur du texte...
C'est en partie grâce à celui ci que j'ai décidé de ne le travailler qu'à pied, en le montant en extérieur de temps en temps.(20/30 min par séance une fois / semaine)
JE voulais avoir différents avis de professionnels sur un éventuel léger travail entre 3,5ans et 4ans; comme l'impulsion.
JE suis bien consciente de la patience à avoir et ne suis pas pressée.
Que me conseillez vous alors comme échauffement?
Je le longe avec élastiques sur les côtés, n'est ca pas prématuré?
Encore merci
Bien à vous
Aviglorent
Bravo, bravo....bien écouté. J'espère que vous allez partager les 'photos avec le temps. Bon courage, Trudi
Une question: pourquoi les élastiques?
Une remarque : le travail de l'impulsion; elle est possible à compter du moment où le cheval utilise au maximum ses masses musculaires; ceci résultera de la décontraction musculaire du cheval qui s'accompagne d'une détente musculaire qui autorise un raccourcissement plus grand( plus le muscle s'allonge, plus il peut se raccourcir!)et d'un meilleur jeu des articulations.
Ce travail plus important des muscles et des articulations, essentiellement au niveau des postérieurs, ne pourra être transmis à toute la masse du cheval que quand le dos sera "fait"; et pour cela ,il faut attendre la maturité des vertèbres.
Par ailleurs, il faut bien savoir que , lorsque vous aborderez le travail monté, votre présence gênera votre cheval(même si vous l'avez déjà un peu monté auparavant), car elle modifiera son équilibre lors des exercices que vous lui demanderez. Donc, à ce stade de l'éducation de votre cheval, l'impulsion "physique", même si son désir mental de se porter en avant reste intact, disparaîtra. Il vous faudra alors retravailler la décontraction sous la selle avant que de retrouver et de redonner à votre cheval l'impulsion sans laquelle il n'y a pas d'équitation.
Amicalement, yves KATZ
Bonjour
Je longe avec des élastiques sur les côtés pour travailler l'engagement et muscler l'encolure et le dos. Je ne les mets pas tout le temps. Mais cela peut il le gêner?
Pour le travail à la longe en général, je me demandais si ce n'était pas prématuré pour ses jarrets, même si je le travaille sur des grands cercles, en courtes séances.
J'ai bien pris note de votre remarque sur la maturité des vertèbres pour travailler correctement le dos du cheval.
Aussi, quand je parle d'impulsion, je devrais plutôt dire la mise en avant, l'activité, surtout à cet âge.
Quoiqu'il en soit, vos réponses me confortent dans ma décision; laisser de côté pour l'instant le petit travail monté.
Merci encore pour vos avis éclairés.
Bien à vous
Aviglorent
Bruno dLB écrit:
En équitation comme en élevage, les livres ne font pas l'homme de cheval. Ils donnent certaines indications, quelques compléments d'informations capables d'éclairer sur certains points.
On n'a jamais autant publié qu'aujourd'hui et, parallèlement, il n'y a jamais eu moins d'hommes de chevaux.
A propos des cartilages de croissance, c'est l'os sous-chondral et chondral qui est le plus exposé et donne des épiphysites très courantes que personne ne voit (pas même les vétérinaires, ils n'ont pas de réponse médicamenteuse !).Il semble que nous partageons le même souci, le confort du cheval.
Je connais assez bien le cheval de courses (galop). Certains sont plus précoces que d'autres et courent à 2 ans bien que la croissance soit stabilisée vers 6 ans!
Vous cherchez un calendrier de travail : je pense que cette quête est fausse et contient toutes les erreurs .....
Je crois qu'il faut se tourner entièrement vers le cheval.
Ses rations alimentaires, sa flore intestinale, sa croissance, son moral, sa construction, son psychisme, sa capacité d'écoute, de concentration, etc...Ce qui intéresse l'homme de cheval, à propos de la précocité, c'est la maturité tissulaire, pas seulement des os, mais les muscles, les tendons, car les surcharges de travail deviennent catastrophiques. (Un excès de travail peut limiter la croissance au profit de la résistance ou de la pathologie). Chaque douleur installe une compensation de "protection" pour ne pas retomber dans le "rouge". De protection en protection, votre cheval risque de se "blinder" contre vos demandes.
Plus un poulain sera bien construit, mieux il "encaissera" précocement le travail et réciproquement.
A l'origine, les poulains (avant le travail) sont sains et capables du meilleur. A cause du travail des hommes, ils créent des défenses d'opposition et peuvent devenir rétifs.La bonne technique se lit sur le cheval lui-même.
Vous devez savoir si la leçon du jour est en deçà, juste ou au delà des capacités physiques et psychique de votre cheval. Le rythme proposé par Yves Katz semble a priori sage.Si vous voulez faire de votre cheval, "un gymnaste", alors faites lui découvrir les capacités de son corps, les amplitudes maximales (en passif : étirements doux, streching, relaxation musculaire), l'utilisation de son encolure (prohibez les enrênements , élastiques ?), l'équilibre naturelle, l'eau, le bruit, le mouvement, le respect de l'homme, etc.
(à propos les élastiques rendent la bouche "dure" : ils prennent toujours et ne rendent jamais!)De calendrier de travail, je n'ai pas. Ceci n'est que mon point de vue.
Cordialement.
Tout d'abord, désolée, mais mon message se poste toujours 2fois..?
Vous avez répondu à ma question sur les élastiques, merci. Je suppose que vous n'en n'utilisez jamais donc. J'essayais de trouver un moyen pour le muscler un peu tout doucement l'encolure et le dos. Donc j'ai faux.
Dans la mesure du possible, j'aimerais que mon cheval soit polyvalent (sportif) et qu'il travaille dans le bon sens. Je ne pense pas aller plus vite que son rythme car je l'écoute beaucoup, me remets en question et ai décidé de le laisser tranquille pour l'instant. Il a les bases, c'est fort bien.
J'ajouterais enfin que je ne le travaille pas en excès. Loin de là. Je le ménage. Excusez moi je me sens un peu jugée.
Je le promène souvent en main pour découvrir le monde, et fait les exercices à pied comme décrits plus haut, et le longe de temps en temps. (maintenant ce sera sans les élastiques)
Bien cordialement,
Aviglorent
En équitation comme en élevage, les livres ne font pas l'homme de cheval. Ils donnent certaines indications, quelques compléments d'informations capables d'éclairer sur certains points.
On n'a jamais autant publié qu'aujourd'hui et, parallèlement, il n'y a jamais eu moins d'hommes de chevaux.
A propos des cartilages de croissance, c'est l'os sous-chondral et chondral qui est le plus exposé et donne des épiphysites très courantes que personne ne voit (pas même les vétérinaires, ils n'ont pas de réponse médicamenteuse !).
Il semble que nous partageons le même souci, le confort du cheval.
Je connais assez bien le cheval de courses (galop). Certains sont plus précoces que d'autres et courent à 2 ans bien que la croissance soit stabilisée vers 6 ans!
Vous cherchez un calendrier de travail : je pense que cette quête est fausse et contient toutes les erreurs .....
Je crois qu'il faut se tourner entièrement vers le cheval.
Ses rations alimentaires, sa flore intestinale, sa croissance, son moral, sa construction, son psychisme, sa capacité d'écoute, de concentration, etc...
Ce qui intéresse l'homme de cheval, à propos de la précocité, c'est la maturité tissulaire, pas seulement des os, mais les muscles, les tendons, car les surcharges de travail deviennent catastrophiques. (Un excès de travail peut limiter la croissance au profit de la résistance ou de la pathologie). Chaque douleur installe une compensation de "protection" pour ne pas retomber dans le "rouge". De protection en protection, votre cheval risque de se "blinder" contre vos demandes.
Plus un poulain sera bien construit, mieux il "encaissera" précocement le travail et réciproquement.
A l'origine, les poulains (avant le travail) sont sains et capables du meilleur. A cause du travail des hommes, ils créent des défenses d'opposition et peuvent devenir rétifs.
La bonne technique se lit sur le cheval lui-même.
Vous devez savoir si la leçon du jour est en deçà, juste ou au delà des capacités physiques et psychique de votre cheval. Le rythme proposé par Yves Katz semble a priori sage.
Si vous voulez faire de votre cheval, "un gymnaste", alors faites lui découvrir les capacités de son corps, les amplitudes maximales (en passif : étirements doux, streching, relaxation musculaire), l'utilisation de son encolure (prohibez les enrênements , élastiques ?), l'équilibre naturelle, l'eau, le bruit, le mouvement, le respect de l'homme, etc.
(à propos les élastiques rendent la bouche "dure" : ils prennent toujours et ne rendent jamais!)
De calendrier de travail, je n'ai pas. Ceci n'est que mon point de vue.
Cordialement.
Bonjour
Je longe avec des élastiques sur les côtés pour travailler l'engagement et muscler l'encolure et le dos. Je ne les mets pas tout le temps. Mais cela peut il le gêner?
Pour le travail à la longe en général, je me demandais si ce n'était pas prématuré pour ses jarrets, même si je le travaille sur des grands cercles, en courtes séances.
J'ai bien pris note de votre remarque sur la maturité des vertèbres pour travailler correctement le dos du cheval.
Aussi, quand je parle d'impulsion, je devrais plutôt dire la mise en avant, l'activité, surtout à cet âge.
Quoiqu'il en soit, vos réponses me confortent dans ma décision; laisser de côté pour l'instant le petit travail monté.
Merci encore pour vos avis éclairés.
Bien à vous
Aviglorent
LEROY écrit:
Bonjour,
Merci de bien vouloir nous dire qui votre cheval : sa précocité, sa construction, sa race, sa membrure, son moral, son émotivité, etc,
je pense que ces indications seront précieuses aux hommes de l'art.
Trois ans c'est très jeune.
Combien de chevaux avez-vous éduqués ?
Avez-vous une expérience passée ?
Avez-vous fait le point de vos erreurs passées. (éventuellement)
Avez-vous toutes vos réponses ?
Que souhaitez-vous obtenir de votre nouveau cheval?
Cordialement