Bojour,
Je peux essayer de vous faire une proposition.
"pour améliorer son temps de suspension se mettre en balance latéralement, malheureusement il perd énormément en avançant certe le temps de suspension s'accroit mais je suis pas tout à fait convaincu de ce qu'il me propose au piafer cela marcherait mais si l'on remet en avant...il cherche l'appui trop loin mais il y a plus simple"

Je suis sur déjà que le balancement n'est pas idéal, premier point, souvent le problème des chevaux Ibérique, qui ont a mon avis malgrés se qu'on imagine souvent du mal a mettre leurs dos en place.
Donc ce que je lit me fait dire que votre cheval ne doit pas mettre sont dos dans votre travail rassemblé. Et peut être n'abaisse t il pas vraiment ses hanches ?

"comment améliorer les temps de suspension dans les allures, l'allure étant obtenu, comment ralentir la cadence (varier le tempo) .mon équidé ne peut pas donner plus en amplitude, il décroche c'est donc une voie pour accroitre legeste sans l'amplifier"

Pour améliorer l'allure et la qualité du travail rassemblé il y a plusieurs éléments, votre fonctionnement corporel (Balancier global), l'impulsion (tonicité des postérieurs vers le haut), la décontraction mâchoire et nuque de votre cheval. Il faut une cadence lente mais tonique et dans la décontraction total. Et dans ce cas vous pourrez piaffer et passager droit . Faire les transitions entre les deux.
Vos problème de cadence sont du au fait que le cheval ne mets pas sont dos, il faudrait des transitions dans l'allure et d'une allure a l'autre, avec un cheval qui qui passe ses transitions sans accélérer et en conservant la même cadence. Egalement trotter le plus doucement possible mais avec un cheval léger décontracté ( mâchoire et nuque, donc dos), et qui se tiend sur des rênes fluides. Faite des transitions de se petit trot a un trot plus allonger mais sans perdre ni la cadence ni la décontraction.
Allez voir ses deux sujets sur le forum FFE pédagogie: "bas et rond et rênes longues...dilemme?" et "Travail encolure basse"
Et seulement quand se travail est juste revenir au piaffer et au passage.
J'éspère que ce n'est pas trop brouillon et que je ne vous ai pas froissé .
Trés cordialement
isa, EQUINE'ATTITUDE

le problème est qu'il devient tellement léger que je n'ai plus de contact (ce qui me fait dire que je perd de l'impulsion) lorsqu'il se met au piaffer
les rênes sont fluides (vous savez cette fluidité tellement fluide avant qu'il vous fasse un truc bien tordu, c'est la même mais il est très sage donc pas de souci) pas de tension, l'encolure en place c'est à dire Atlas/Axis comme point le plus haut
les hanches s'abaissent mais trop certainement car j'arrive à voir le sabot postérieur à l'aplomb de mon talon et bien que ma jambe soit en retrait de la sangle pour rassemblé ça fait trop, trop pour lui en tout cas

il a compris à quoi servait le piaffer, alléger l'avant main,le problème est qu'il n'y a plus rien qui touche et il n'a pas les jarrets pour soutenir
si la pression, le rassemblé s'amplifie de quelques grammes ne pouvant soutenir il se détend et dans ce cas faut suivre

la cadence devient très lente et l'appui peut être trop loin

le problème à ce moment là c'est que c'est lui qui donne la cadence pas moi

les allures très courtes et légères ne sont pas un problème mais c'est plutôt les longues il va chercher loin mais perd trop de hauteur de "développé"

je retiens votre proposition sur les variations d'allure et les transitions dans l'allure c'est une piste
la tonicité des postérieurs dans les allures
au piaffer il cherche l'appui

j'essaie,

pour le doux passage et le fait de reprendre du pas cela fonctionne, le passage est en équilibre horizontal et donc n'étant pas le même que le piaffer cela doit jouer

le brillant, lié au temps de suspension j'en suis conscient mais à partir de ce doux passage comment augmenter le temps de suspension, pratiquement.
une voie, je supposais, est de ralentir l'allure quasiment à 0 mais je n'augmente pas dans le même temps les temps de suspension ou je passe au piaffer avec les dérèglements déjà énoncés
j'influe sur la vitesse mais pas sur le mouvement

il y a deux problèmes différents dans ma question mais qui doivent se rejoindre à un moment donné

qu'en pensez vous,

dolmata écrit:

le brillant, lié au temps de suspension j'en suis conscient mais à partir de ce doux passage comment augmenter le temps de suspension, pratiquement.

De mon point de vue : en combinant le contrôle de "l'étirement" la ligne du dessus, l'alignement (rectitude dont on a déjà débattu :)! ) et le mouvement (en avant).

là je ne suis pas concernant "l'étirement" de la ligne du dessus

faut il envisager des allures longues avec des foulées tendues??

Bonjour à tous

Une petite question si vous le permettez.
Dans le raccourcissement allongement d'allure au delà du simple exercice n'y a-t-il pas, pour celui qui veut s'en donner la peine, le moyen d'affiner le langage cavalier <---> cheval ?

Sentir jusqu'où on peut aller en cherchant à préserver la cadence sans éteindre ou sans excès d'"impulsion"

???

Pierrex

*** écrit:

Le problème que vous rencontrez est plus profond qu'une simple utilisation des aides.

C’est quand même par l’utilisation des aides que l'on met en place un langage.

Et, un des premiers éléments à mettre en place est de pouvoir disposer de cet étirement de la ligne du dessus (déploiement, extension, ou autre terme).
A terme, l’objectif est de moduler cet « étirement » en plaçant et contrôlant le positionnement des différentes parties du cheval dans la construction la plus favorable au mouvement recherché.
*** écrit:

En poussant l’analyse du Général L’HOTTE et en extrapolant sa pensée, on peut dire sans se tromper que, le trot, le doux passage, le passage, et le piaffer ne sont qu’une seule et même allure, avec des degrés différents d’amplitudes et de demandes.

Je comprends aussi pareil et, c’est la bonne gestion de cet « étirement » de la ligne du dessus qui permet le passage fluide de l’un à l’autre.

Pour le visuel de cette disponibilité, pour moi, ce serait ce genre là :

Pour ce cheval, j’ajoute d’autres repères dans le message suivant.

Message édité par: masterai, à: 2007/11/24 18:57

Avec son cavalier habituel / l’application au trot, le même jour que la photo du galop / rênes longues (le cheval est assez massif) / le premier jour : début de la communication (même moment que ci-dessus).

Non Jacques je ne recherche en aucune façon ce que cherchent les cavaliers de grand prix cela ne m'intéresse pas je cherche pour le "fun" pour la beauté du gest si je peux dire, parce que ce soir je suis un peu moins bête que ce matin, enfin je l'éspère

j'ai relu le passage du général l'HOTTE, il est dans ma bibliothèque mais c'est toujours le dernier que je regarde

il y a quand même un point qui me gêne malgré tout c'est la modification de l'équilibre entre piaffer et passage, les DVD de Ph K le montre bien

qu'il y ait un lien cela ne fait pas de doute dans la demande mais le piaffer en est la base pas le passage sauf cas particulier

L'HOTTE comme La Guérinière parle du fait d'apprendre le piaffer en premier et entre les pilliers pour assurer un piaffer correct, et moi les pilliers je n'ai pas essayé, même vivant, enfin je ne sais pas, mais il semble incontournables

en revanche pour revenir sur mon sujet je ne cherche pas l'augmentation de l'amplitude du mouvement (sur lesquelles l'Hotte semble mettre en garde avec le grand passage par exemple) mais simplement l'augmentation du temps de suspension, pas plus pas plus vite mais plus lontemps

par ailleurs La Guérinière parle du passage mais toujours incurvé du devant mais aussi du derrière ce qui est peut être une autre piste .

enfin j'ai relut aussi N.Oliveira qui lui réfléchit en fonction du cheval mais qui parle de Steinbrecht (manque de bol c'est un trou dans mon rayonnage j'y vais demain) en particulier pour les chevaux dont ce n'est pas la tasse de thé

Dolmata,
je vous remercie de vos indications (dans le sujet Rencontre du 15 Avril) à propos du pas espagnol. Je ne sais pas si nous rencontrons le même problème concernant le piaffer. Pour ma part je ne chercherais pas la solution dans les allures étendues ou dans le raccourcissement/allongement d'allure. J'aurais tendance à penser que le cheval a besoin de temps pour trouver son confort dans la posture du piaffer et que pour cela il faut lui laisser trouver ses marques en intervenant le moins possible. Pour ma part mon souci est que mon cheval se désynchronise, finit par retomber dans le pas. Je lui fait faire à la fin de chaque séance quelques foulées de diagonalisation (deux-trois, pas plus, en essayant d'arrêter avant qu'il se désynchronise), sur le chemin du retour, ce qui provoque naturellement le mouvement sans que j'aie à lui demander. Si vous n'avez pas d'exigence de compétition (le fun est sans doute le meilleur objectif qu'on puisse avoir) alors pourquoi ne pas prendre le temps... J'ai constaté dans ma maigre expérience qu'à vouloir gagner du temps, on en perd souvent beaucoup. Je voulais insérer des photos, cela serait plus clair pour savoir de quoi on parle (d'autant que je ne me retrouve pas dans celles mises précédemment, je ne travaille pas comme ça, l'objectif est différent) mais je n'ai pas pris les bonnes, ce sera pour la semaine prochaine (w-e oblige).
Bon week-end