débutant et légèreté

Je ne me suis pas fait comprendre, comme Alizé d\'\'ailleur.

Ce n\'\'est pas la question de savoir si il faut monté en légereté ou pas, Alizé demande quelle position est la meilleur par rapport à ce qui lui est enseigné!

Nous devons lui répondre le mieux possible avec le niveau d\'\'équitation et d\'\'enseignement!!!! qu\'\'il a.

Alizé est DEBUTANT !

Mais, par la suite, avec un enseignant qui sait, il est evidemment nécessaire de lui enseigner la légereté, le plus tôt possible.


Cordialement

(par Serge)

Je pense avoir repris la question d\'\'Alizé dans mon mail précédent. J\'\'en avais d\'\'ailleurs intentionnellement modifié le titre.
Mais pour compléter le débat sur la légèreté, cf les interviews réalisées par Gillian Hensler à EQUITANA en Australie. J\'\'apprécie particulièrement les propos d\'\'Andrew Mc Lean.
Merci Gillian pour ces articles !

(par nathalie)

je viens de relire le message d\'\'alizé; si les termes employés par elle( pour moi ce prénom est féminin) sont exactes, elle n\'\'est plus débutante; un débutant n\'\'est pas à même d\'\'aborder assis en gérant les abords; par ailleurs, je réitère mes précédents propos, confirmés par d\'\'autres: on peut sans aucun doute enseigner l\'\'équitation avec légèreté même à un débutant: petite précision: je suis bees 2 depuis plus de 30 années et j\'\'ai donc pu tester ce que j\'\'avance aujourd\'\'hui et tout au cours de mes interventions.
quant à savoir quelle est la meilleure position par rapport à ce qui est enseigné à Alizé, il est difficile d\'\'y répondre dans la mesure où elle ne détaille pas suffisamment l\'\'enseignement dispensé; pour répondre, je répèterai ce qui a été dit dans mon précédent mail:la meilleure position est celle qui permettra d\'\'obtenir discrétion, efficacité, légèreté et conservation de l\'\'intégrité morale et physique du cheval qu\'\'elle monte.

(par yves katz)

A Yves et a tous,

Je répete ce que j\'\'ai ecrit plus haut.

La question d\'\' Alizé n\'\'est pas de savoir si il faut monter débutant ou confirmer en légereté, mais si la nouvelle manière de monte preconisée par son nouvel enseignant est bonne ou pas et si, de cette nouvelle manière elle peut demander de l\'\'impulsion à sa jument .
C\'\'est sa seule question et demande notre avis à tous.

D\'\'aprés les réponses faites, je ne vois personne qui comprend Alizé et sa question. Si elle n\'\'est pas débutante, elle nous pose quand même la question et je l\'\'en felicite.
Cela prouve qu\'\'elle se remet en question....

Repondons à sa question comme nous le pensons, c\'\'est tout ce qu\'\'elle demande.

est-ils correct de monter sur le pommeau de la selle ?

Amicalement

(par Serge)

ne créons pas de controverse inutile; le monde équestre se bat déjà trop facilement pour des problèmes qui sont surtout le fruit d\'\'une non compréhension des termes employés; il serait intéressant que l\'\'enseignante de Alizé exprime ce qu\'\'elle entend par position sur le pommeau;il est bien évident que si on applique sensu stricto cette position au dessus du pommeau, il ne peut y avoir de stabilité; que chacun soit plus précis et on pourra proposer une solution satisfaisante à Alizé.

(par yves katz)

après avoir envoyé mon message, j\'\'ai relu la première demande d\'\'Alizé; elle parlait alors de position en suspension, en effleurant la selle avec le bassin; j\'\'ai répondu dans un précédent message que cela n\'\'empéchait en rien une action efficace du bassin; les différentes interventions se sont un peu éloigné du sujet originel, mais les réponses apportées devraient satisfaire Alizé; en suspension ou assis, tout est question de niveau du cavalier; la position assise( mais pas couché en arrière) étant utilisée par des cavaliers d\'\'un niveau plus confirmé que pour la position en suspension que l\'\'on doit inculquer au cavalier débutant à l\'\'obstacle.

(par yves katz)

Pas d\'\'accord !

Y aurait-il une équitation de débutants et une de "confirmés", de "spècialiste", " réservée" que seul les enseignants sauraient faire pour rester "maîtres" de leur étoile ?

C\'\'est tout le problème de l\'\'enseignement actuel qui "forme des cavaliers qui n\'\'obtiennent pas de résultats en concours.
Un bon enseignant et enseignement se voit simplement en prenant les résultats de celui-ci en concours et ces de ses cavaliers en formation.
Moins de 50 % de résultats, c\'\'est médiocre.

Je prefere, de loin, apprendre les bonnes positions dés le début. Nous n\'\'apprenons pas le Français d\'\'abord avec des fautes et ensuite les corriger.

A quand le bon enseignement ?

Cordialement

(par Serge)

il y a effectivement une diversité d\'\'équitations: haute école, extérieur, compétition, jeux. Il y a différentes façons d\'\'enseigner l\'\'équitation: en fonction de son public, de ses motivations, ....Il y a différents degrés de compétence en équitation: fonction de ses moyens propres, de ses ambitions,de ses attentes. Et puis il y a différents niveaux: on commence par être débutant( avec ses problèmes propres( puis petit à petit on devient confirmé(et on prend conscience de problèmes que l\'\'on ne soupçonnait pas au début)et on aborde d\'\'autres questions équestres.
L\'\'Equitation ne se resoud pas à la seule compétition( serge, vous vous contredisez!): seul 20% environ des cavaliers sortent en compétition. Par ailleurs, un seul homme ne peut pas tout faire: il y a des enseignants qui se spécialisent dans certaines disciplines, dans certains niveaux( les raisosn en sont diverses et ne sont pas le sujet de cette intervention) et puis ensuite viennent les entraîneurs pour ceux des cavaliers que la compétition motive; mais il faut d\'\'abord leur donner de bonnes bases saines et solides, faites de connaissance du cheval sous tous ses aspects et de compréhension des problèmes équestres....CE qui permet aux enseignants de rester "maître de leur étoile", c\'\'est l\'\'impact qu\'\'ils ont auprès de leurs cavaliers et le comportement de ceux ci face au cheval; et non pas leurs propres résultats en compétition( on peut être bon cavalier et enseignant incompétent); comme on peut être bon enseignant sans sortir en compétition: il faudra alors savoir orienter ses élèves vers quelqu\'\'un de spécialisé le moment venu. On " crève " trop en France de gens qui veulent tout faire(pour des questions financières; soyons réalistes!) et qui au final ne font rien de bien et ruinent chevaux et cavaliers.

(par yves katz)

Yves,

Je suis d\'\'accord avec vous sur la fin de votre texte.

Je ne travail que mes chevaux en CSO, c\'\'est pour cette raison que je n\'\'interviens que sur le forum que pour cette discipline, la morphologie et la physiologie des chevaux, sans oublier la chose la plus importante à mes yeux = intégrité morale et physique de mes chevaux.

Amicalement

(par Serge)

pour ce qui est du CSO, j\'\'espère que vous mettez en avant la discipline hunter qui permet au cavlier d\'\'acquérir des bases saines de discrétion et de légèreté et pour le cheval une confiance et une progressive gestion musculaire.

(par yves katz)