Difficile de répondre par Internet sans voir le cheval en mouvement et le fonctionnement du couple..Il faut être conscient qu'Internet peut permettre d'améliorer sa culture équestre( ce qui ne signifie pas uniquement connaître les auteurs d'avant, mais surtout de savoir comment fonctionne un cheval et son cavalier); mais ucunement de régler des problèmes particuliers. on va vous proposer X solutions.une seule pourra peut être être la bonne; les autres rrisqueront de faire plus d emal que de bien.............
Votre cheval présente deux "attitudes contraires" sur un même mouvement. peut être serait-il opportun de réfléchir à votre propre fonctionnement corporel avant toute autre chose........Il semblerait cependant que vous décriviez un cheval sans impulsion , ni engagement (précipite sur les épaules en pesant à la main), ni travail avec un dos tendu et étendu(peu en avant et "molasson". mais sans vous voir au travail , toutes les possibilités sont autorisées.....................

Merci de votre réponse, qui me permet de reformuler peut être de façon plus général mon questionnement du moment:

est-ce qu'il vaut mieux travailler comme:

dans le 1er cas, avec un cheval tendu (fixe sur la main, bonne propulsion, postérieurs qui engagent), mais avec du poid au bout des rênes, et l'encolure moins relevée?
ou dans le 2eme cas, attitude plus haute, léger dans la main mais moins fixe et avec moins d'impulsion?
ou encore ni l'un ni l'autre?

j'essayerai de mettre une vidéo si possible.

Merci de vos réponses.

 L'attitude du bout de devant, le positionnement de la nuque par rapport au garrot n'a aucune relation avec le contact entre la main du cavalier et la bouche du cheval.........soyez en persuadée et vous aurez fait alors un grand pas dans la comrpéhension de l'équitation en tant que science de l'éducation du cheval faite pour lui redonner sous la selle et le cavalier le naturel de ses allures.
Quelle que soit l'attitude choisie pour et par le cheval en focntion de ses problèmes sous la selle,cela n' a aucune relation avec la légèreté du cavalier(immuable) et celle du cheval (évolutive).

Je crois que je vois...merci!

bonjour,

le temps de pratiquer un peu...et me revoilà avec la question:

ok pour le placé de l'encolure qui n'influe pas sur la légèreté (si j'ai bien compris), mais je ne comprend pas comment on peut avoir un cheval qui prend son mors et tend son dos, en
 partant des flexions/cessions de mâchoire (notamment celle du ramené) qui je touve mets le cheval en arrière de la main, mais qui semble être un des paramètre de la légèreté?

Merci pour vos commentaires!

 Il est bon d'éduquer son cheval en suivant une progression logique...........

la première chose à obtenir est que le cheval accepte le contact du mors sur une attitude "étendue" qui autorise un travail corretc du dos..........
Une fois que cela est obtenui(longe, travail sur le cercle.......) vous allez, par le travail des transitions, inviter votre cheval à mieux utiliser ses postérieurs pour passer sur un équilibre qui allègera l'avant-main et permettra plus de légèreté et viendra le travail des flexions.

Travailler les flexions en premier, si on n'est pas techniquement "compétent", risque d'inviter le cheval à refuser le contact du mors et à rester en arrière de la main. 
Vous devez: &/ avoir un cheval qui se pose sur son mors, en travaillant la mise SUR la main. Puis viendra le temps de la mise EN main qui se traduit, entre autre, par le ramener........

Quant aux paramètres de la légèreté, le premier et le plus important est à considérer au niveau des hanches. Contrairement à une idée fortemnt répandue, ce qui importe c'est le fonctionnement d el''arrière main, l'attitude du bout de devant n'en étant qu'une conséquence.........L'équitation se pratique d'arrière en avant et non pas d'avant en arrière!

Merci beaucoup pour votre réponse, je n'avait pas (ou pas capté) cette notion de mise sur la main...ce qui étant une des base posait quelques problèmes!

J'ai de plus bien vu comment l'effectuer grâce à une vidéo du  site "compétence équestre".

Dans "position étendue" pensez vous qu'il est souhaitable d'aller jusqu'à l'extension paroxistique que conseil M. Pradier, afin que le cheval "tire sa charette"? pourquoi?

J'ai de plus bien noté le rappel concernant le fonctionnement d'arrière en avant...primordial!

Merci d'avance de m'aider encore...à avancer.

Bonjour,

Si je peux me mêler de la conversation... Tenduba, vous écrivez : « Dois-je demander plus de marche avant, où cela viendra quand le cheval pourra ? ».

Pour la première partie de la phrase : oui, mais seulement dans le sens où le cheval doit être en avant des jambes. Je pense qu’il s’agit de votre problème principal ! (l’obéissance du cheval aux jambes). Pas dans le sens d'aller plus vite...

Avec l’expérience vous conserverez constamment votre cheval devant votre corps, les jambes n’apportant que de petites corrections...

La meilleure façon d’apprendre à son cheval l’obéissance aux jambes serait dans la pratique (qui vous est proposée par Yves) des variations de ses allures, et l’alternance des allures. C’est aussi un très bon moyen pour progressivement se rendre compte du travail des hanches du cheval, et apprendre à respecter ses mouvements tout en développant son goût de coopération.

Le soin donné aux transitions entre les allures est important...

J’ai toujours présente à l’esprit cette courte phrase de Nuno Oliveira qui donne très tôt de la valeur à l’équitation même élémentaire : « C’est en soignant tous les détails des transitions que l’on prépare le rassembler. » !
C’est 60 à 80% du temps passé à cheval à le rendre avant tout « capable d’équilibre ».

Concernant la 2ième partie de votre phrase sortie de son contexte. Si vous savez ce que vous faîtes (de façon générale) « ... cela viendra quand le cheval pourra. » est une phrase sage et riche quand on connaît les chevaux.

Je vous présente 2 cavaliers : celui qui obtient le placer de son cheval sans même l’exiger en rapport avec un travail préparatoire logique (dont parle Yves), et l’autre... qui fait un geste pour ramener son cheval, geste qu’il entretient et conserve tout le temps qu’il est à cheval pour conserver le ramener...

Lequel connaît le mieux son cheval, ses mouvements ? Lequel fait l’apprentissage du « demander et laisser faire » en préservant ainsi le goût de coopération du cheval ?

Amicalement.

Bonjour, et merci pour votre contribution car c'est en effet dans se sens que je veux progresser.

Pour les jambes (et donc la marche avant) j'ai effectivement rectifié, ayant confondu légéreté et absence de jambes...question de dosage!

Encore merci, car la progression (du couple...) est nette ces dernier temps (le cheval sachant faire...au cavalier d'être juste!)

Et merci d'avance pour les réponse à venir ;)

Bonjour,

Je me permets d'intervenir, bien que je ne sois pas instructeur.
Un mot à propos de l'obéissance aux jambes voici ce que l'expérience permet de dire.

La réactivité du cheval aux jambes n'est qu'une affaire d'éducation.
Pour cela, quitter les éperons, mettre le cheval au pas et demander une transition au trot avec une seule et unique demande des jambes.
recommencer la demande jusqu'à ce que le cheval obéisse. Dès que le cheval trotte, ne plus rien demander avec les jambes et entretenir le mouvement avec une cravache à l'épaule.
Après avoir obtenu la réponse, il appartient au cavalier d'entretenir la réactivité du cheval avec le minimum d'effet de jambes. Les autres transitions montantes s'obtiennent alors avec plus de facilités.

Tous les chevaux apprennent cela très rapidement et les éperons deviennent vite non indispensables.
BLB