Il existe des filets sans mors et des mors sans filet...

www.youtube.com/watch?v=ysBQ23DmL0U&feature=player_embedded

Surement dans la gamme des matériels disponibles dans el commerce, une solution à votre problème,

Bonne chance !

bonsoir,

j'espere que tu auras de bon conseils, pour moi la premiere chose à faire serait de le faire voir par l'osthéo pour écarter l'hypothèse d'une douleur.

bonne continuation.

julie

J'ai eu l'occasion de voir plusieurs fois ce type de comportement dans des stages animés par le Colonel Carde et que j'ai filmés pour le projet Compétences Equestres.
Donc une hypothèse est que vous êtes confrontée au problème rencontré le plus souvent: un problème de contact. Ce problème peut provenir d'un des deux acteurs du contact (ou des deux !): le cavalier dont la main n'offre pas au cheval le bon contact, le cheval qui refuse le contact soit en lâchant son mors soit en tirant brutalement, comme le vôtre, pour arracher les rênes.
Dans ces cas là, dans ses stages, le Colonel Carde commence à établir un contact psychique en demandant au cheval de le suivre quand il marche à côté. Puis toujours à pied, il demande, à l'arrêt, le contact sur les rênes. Quand le cheval l'accepte, il le demande au pas puis au trot. Ensuite, même chose en selle, le cavalier au trot enlevé, fixant ses mains à la crinière, pour que le cheval se pose gentiment sur la main.
L'étape suivante, c'est le cheval qui suit la main, grâce aux flexions latérales qui vont permettre d'obtenir l'abaissement ou l'élévation de l'encolure.

L'absence de contact (rènes détendues) n'est pas la garantie pour le cheval d'une absence de choc en bouche, et il pourra craindre de venir soudain butter sur le mors sur une mauvaise action de main du cavalier (ce qui se produit à la réception de l'obstacle quand le cheval a besoin du balancier de son encolure pour se rééquilibrer).

Rééduquer et réinitier le contact n'est pas aisé.. C'est pourquoi pour une bonne entente cheval cavalier sur des activités type CSO il est intéressant de changer la donne en ayant recours à d'autres types d'enrênement.

j'ai monte des chevaux tres puissant qui agissaient comme cela. Tres souvent il s'agit d'un mauvais dressage. Une fois que le cheval a compris qu;il pouvait arracher les renes, souvent il repete la situation.

cela a verifier si il n'y a pas un autre probleme a la source: contact, mauvaise actions du cavalier, selle adaptee, suivit du dentiste, mors adpate e regle a la bonne longueur, alimentation, condition du dos et absence de douleurs.

Si le probleme n'est que lie qu' au comportement, et bien bonne nouvelle, c'est un defaut qui se corrige tres vite. Il faut discerner , contrecarre et prevenir et bien souvent le defauts va se gerir en 2-3 sceances.

Marit wrote:

L'absence de contact (rènes détendues) n'est pas la garantie pour le cheval d'une absence de choc en bouche, et il pourra craindre de venir soudain butter sur le mors sur une mauvaise action de main du cavalier (ce qui se produit à la réception de l'obstacle quand le cheval a besoin du balancier de son encolure pour se rééquilibrer).

Rééduquer et réinitier le contact n'est pas aisé.. C'est pourquoi pour une bonne entente cheval cavalier sur des activités type CSO il est intéressant de changer la donne en ayant recours à d'autres types d'enrênement.

Je ne suis pas du tout d'accord avec vous.... les enrenements ne changent rien, et c'est un defaut qui se corrige en 5mn avec un cavalier qui sait quoi faire. Le meilleur example se trouve dans le livre de Jean d'Orgeix: Angles et Ryhtme.

Je suis bien d'accord avec vous Sandra. Le problème de cette cavalière est une guidance adéquate pour trouver/comprendre ce qu'est un contact et je pense qu'il y a du chemin à faire. Le cheval est complètement braqué sur la main et a trouvé une échappatoire... Il faudra de la cohérence, de la constance, du calme, de la guidance éclairée et de la patience pour résoudre le problème de ce couple. Je ne pense pas que 5 minutes suffisent. Il faudra le temps de la compréhension du cavalier et du cheval, ce qui reste imprévisible... Les voies indiquées par Nicole sont bonnes mais de là à les comprendre via un ordinateur...

Sandra Mesrine écrit:

Je ne suis pas du tout d'accord avec vous.... les enrenements ne changent rien, et c'est un defaut qui se corrige en 5mn avec un cavalier qui sait quoi faire. Le meilleur example se trouve dans le livre de Jean d'Orgeix: Angles et Ryhtme.

Quand je parle d'enrênement c'est en rapport avec mon message précédent. Il existe des alternatives, pour le confort du cheval.

Le cheval est en défense et acquérir une bonne main et un contact constant et rassurant sur des barres... en 5 minutes dites vous ?

Ah.

point n'est besoin d'avoir un cheval "puissant" pour se faire arracher les rênes, au bout de vos bras, vous avez au bas mot, entre 40 et 60kg.

Pour ce qui concerne Monsieur D'Orgeix, c'est un peu comme pour Monsieur Baucher : seul Monsieur D'Orgeix pouvait monter comme Monsieur D'Orgeix. Le talent ne s'apprend pas.

Bonsoir,

« Aidez moi vraiment … Je suis désespérée… ». E. Puydebois
C’est très touchant, mais saurons-nous vous aider ?

Probablement un manque de communication avec le cheval vous empêche de le comprendre pour l’instant.

Il faut penser au cheval également qui en arrachant les rênes contrôle qu’il peut disposer de son encolure.
Mon conseil serait de faire en sorte qu’il ne rencontre pas la main, de le mettre au trot juste pendant cette descente d’encolure (c’est un rappel simple et aimable de son obéissance aux jambes) ; trot sur quelques enjambées et demande de pas (cette transition va lui faire changer son équilibre). A répéter de nombreuse fois, sans énervement.

Si ce cheval a du sang, vous devrez absolument être maîtresse de lui tout lui en conservant la sensation qu’il est libre… Cela ne veut pas dire de le monter sans contact, la présence de la main doit être rassurante – donnez-lui ce rôle !

Agissez toujours au moyen de courtes leçons :

En 2 heures vous pouvez le prendre en main, marcher lentement, vite (votre attitude est son exemple dès maintenant) et lui demander de nombreux arrêts (sans tirer sur la longe) pour éveiller son attention (communiquer) ; le ramener au box pendant 15 minutes pour qu’il urine ou crotte ; le prendre ensuite en longe en prolongeant le calme instauré dans la marche commune précédente (les premiers jours seulement au pas, puis au pas et au trot.
Gardez le galop pour plus tard, sauf si à la longe cela lui réussit ; le ramener au box, le brosser avec l’envie de lui procurer de la détente musculaire et mentale et le seller (les gestes que vous aurez renseignent déjà le cheval sur vos intentions suivantes à cheval) pour monter 15/20 minutes par exemple.
Au pas, où dés le début votre corps joue également le rôle de calmant par un liant souple, un accompagnement qui montre que vous aimez ses mouvements et que vous souhaitez les partager avec lui.
Au trot où votre accompagnement mesuré lui indique la vitesse qu’il doit prendre et respecter. Le galop sera pour plus tard, mais je ne me rends pas compte si oui ou non il faut le faire galoper monté, ou attendre. Bien sûr ne pas sauter.

Ne laissez rien au hasard, c’est ce qui ressort des interventions précédentes.

Faites attention à la nourriture qui lui est donnée, qu'elle soit en rapport avec le travail effectué, avec son tempérament...

Amicalement.