Bonjour Bruno,

Déjà dans un premier temps éviter cela " ... faire deux vaccins en même temps avec le même point d’injection ".

Dans cette écurie plusieurs chevaux ont réagi aux vaccins et non uniquement un cheval... Est-ce lié au mode opératoire du véto ou au laboratoire fabricant ?

D'une façon générale est-ce que on peut préparer le " terrain " avant la vaccination et aider l'organisme après... ? Je pense à l'homéopathie...

Amicalement.

Bonjour Philippe,

Le mode opératoire ne peut guère affecter une écurie entière.
Le risque opératoire serait l’usage de matériel sale (infection) ou de piquer les aponévroses et d’injecter à ce niveau ; le résultat est connu : inflammation persistante et présence d’une grosseur sur quelques mois, parfois un abcès. Malheureusement, les "soigneurs" ne savent pas les causes de la réaction. En piquant, l’aiguille ne doit pas s’arrêter sur la membrane dure : avancer un peu plus ou reculer.
A la description des symptômes, je chercherais vers le produit injecté car les réactions ont été violentes… Vacciner n’est pas un acte anodin.

Avant tout stress physiologique, (vaccins, vermifuges, antibiotiques, carbesia, et autres substances agressives) on devrait donner 4 jours avant et 4 jours après Thuya 9 ch 5 gr par jour afin de prévenir les changements de "terrain".

Dans le cadre d’une intoxication mieux faut faire une isothérapie : Dilution du vaccin ou du produit en cause à 6 DH, 2 x 30 gouttes par jour sur 3 jours le plus tôt possible.
Cette préparation demande un peu de technique et du matériel.

 Merci pour ces indications utiles...