Dont acte.

Quel dommage, je suis arrivé trop tard pour "modérer" vos propos ! Et c'est seulement lors de notre prochaine réunion de bureau le 8 septembre, où nous préparerons l'Assemblée Générale que la question de la modération du forum public sera étudiée, puis tranchée . D'ailleurs les bonnes volontés sont priées de contacter directement notre Secrétaire Générale Lyse Martineau pour voir l'appui qu'ils ou elles pourraient nous apporter ( et ce message s'adresse tout particulièrement à Philippe Farnault qui a essayé fort adroitement de calmer le jeu sur le présent sujet ).

Je tiens à informer Bruno que je suis d'accord avec lui sur le fait que l'environnement est essentiel pour que la génétique puisse montrer ses effets, mais qu'il est dommage qu'il se soit laisser aller à quelques qualificatifs déplacés concernant une intervenante qu'il ne connait hélas pas .

Je tiens à informer Marit que je suis réservé sur les apports scientifiques lorsqu'ils ne sont pas liés  la connaissance du "terrain" ou à des applications "pratiques", mais que je la soutiens tout à fait dans ses interventions qui animent notre site (un peu + soft parfois irait mieux ...) et la soutiens encore plus dans ses projets concrets dont elle parle par ailleurs .

Enfin, comme Bruno et Marit sont tous les deux des personnes intelligentes et bien élevées, dont les contibutions aportent beaucoup à ce site, je rève d'un débat public ( ou d'une rencontre "pédagogique" ) sur le thème " génétique et environnement" appliqué à l'élevage du cheval de sport ou de loisir ...

 Je travaille dans le milieu de la recherche et des Laboratoires depuis 18 ans, en contact direct avec des KOLs et médecins tous les jours et il me choque que l'on puisse prétendre travailler sur le génome dans son bureau ou à son domicile.

Dans ce milieu, pas de soucis, les apports scientifiques ne sont pas déconnectés de la réalité.

Idem j'attends la même démarche pour la recherche appliquées aux chevaux, et puisque j'ai mis en pratique personnellement certains apports de la recherche de ces 50 dernières années sur le cheval, je pense que l'on peut admettre que la recherche bénéficie et est liée à la connaissance du terrain.

J'aimerais être "soft" mais on juge vite ici sans connaitre les personnes et j'ai le sang chaud.

D’une question sur l’influence de l’environnement et la performance, nous en sommes arrivés à douter de la légitimité de l’autre comme s’il y avait concurrence. A croire que ce domaine soit "chasse gardée" !

Je veux bien admettre avoir été cassant et présenter des excuses pour cela à Marit et clore cet incident.
mais je déplore le dénigrement systématique. Avoir de beaux et grands projets ne peut aboutir sans considérations pour son entourage.

Jamais, je n’ai prétendu : "travailler sur le génome dans mon bureau ou à mon domicile." c’est un procès d’intention, une obsession qui n’est pas mienne.
Mon approche est différente, mais je dois bien prendre en considération l’ADN pour construire mon raisonnement. Cette réflexion avait été formulée par mon grand-père en 1960-65 à propos des PSar élevés en France.

J’ai repris ses notes pleines de bon sens et d’expérience, il y a environ 13 ans, avec des résultats concluants et un raisonnement confirmé par les recherches de laboratoire sur le génome. Ceci pour dissiper les erreurs.

Je ne comprends pas ces tournures en dérisions, nous n’abordons pas le sujet sous le même angle, ni avec les mêmes moyens, ni dans le même but et nos conclusions semblent converger.
Réjouissons-nous, construisons en admettant que le sujet est libre et ouvert.

Si l’humanité a survécu jusqu’à nos jours, ce n’est pas grâce à la "science". celle-ci nous permet surtout de comprendre certains mécanismes.

Que chacun conduise ses expérimentations, mette en application le fruit de ses réflexions loin des suspicions.
Aucune recherche ne mérite le mépris.

 "sans considérations pour son entourage" vous me faites rire et un point de vue différent vous dit "savoir bien s'entourer".